Le chant du marteau et de l'enclume

Le Rôdeur déambulait dans la rue marchande depuis un moment, son sac à dos accroché sur ses épaules, sac dont sa lame brisée ainsi que son armure abimée dépassaient un petit peu. Cela faisait bientôt une heure qu'il avait quitté la chasseresse nommée Plume et le Rôdeur avait besoin de se changer les idées en observant cette ville animée en début d'après-midi

Bientôt Yuurei se tenait devant la fameuse boutique, l'armurerie tenue par la Forgeronne Ariez. Yuurei poussa la porte et entendit la clochette au dessus de celle-ci retentir dans la pièce. Un son cuivré pour une clochette en laiton indiquait un nouveau client. Ce fut une belle forge qui s'offrit aux yeux du rôdeur. Un mélange de cuir, de peaux tannées, de fourrures mêlés à toute sorte de métaux, ainsi qu'un magnifique étalage d'œuvres issues de cette forge. Yuurei chercha le forgeron des yeux et fini par l'apercevoir.

Cela fut une surprise pour Yuurei qui s'attendait à voir un forgeron patibulaire à la carrure similaire a celle du boucher quelques rues plus loin. Curieusement c'était une femme qui était en train de battre le métal de la forge. Une jeune femme aux cheveux noirs et à la silhouette fine et fragile. Elle avait un teint pale, comme celui de ceux qui ne voient que rarement le soleil un peu comme celui du rôdeur. Des yeux verts émeraudes, similaires aux siens, scrutent le Rôdeur depuis son entrée dans la boutique.

Yuurei approcha la demoiselle, enlevant son sac et ouvrant celui-ci pour lui montrer son contenu, une armure abimée à bien des endroits et une épée brisée en deux. Le Rôdeur pris la parole d'une voie sonore, exprimant son désir et sa commande.

"Bonjour demoiselle. J'aimerais faire réparer cette armure faite d'acier-sombre, donc enrichie en Carbonne pour la solidité. J'aimerais également faire réparer et amélioré mon épée. Elle est faite d'un alliage entre acier blanc et damascus. C'est un métal assez pur et j'aimerais conserver sa pureté ainsi que les motifs gravé sur le pommeau et le long de la lame."

Reprenant son souffle, le Rôdeur repris son explication. Il devait indiquer quelles sont les améliorations à apporter après tout.

"Côté modifications, j'aimerais augmenter son tranchant au maximum ainsi que sa résistance, sans trop impacter sa maniabilité. S'il est possible de lui donner des propriétés élémentaires, j'aimerais augmenté son attaque envers le feu et sa résistance contre ce même élément. Vous pensez que cela va me couter combien et pour combien de temps ?"

La messe était dite, le Rôdeur avait annoncé à la forgeronne son désir à propos de son équipement. Instinctivement, Yuurei chercha sa bourse dans son sac sans fond, attendant la réponse de la demoiselle devant lui.

épée blanche :
- tranchant max
- résistance : 4
- maniabilité : 3

▼ Succès ▼▲ Succès ▲

18/08/2013

"Bonjour cher client"

Ariez était ravie de pouvoir s'occuper d'un nouveau venu. Elle regarda l'armure qu'il lui confiait ainsi que l'arme cassée en deux. Elle s'occupait rarement de réparer les armures, n'étant pas la plus réputée pour ça, mais elle était prête à relever le défi surtout qu'elle disposait du métal adéquat pour cette réalisation.

"Pas de soucis pour votre armure. En revanche pour votre épée ce ne sera pas possible de la réparer, si je raccommode la lame elle perdra énormément en solidité. Le plus simple pour vous est que je la change complètement. Je pourrais remettre l'inscription, bien sûr. Cependant si vous souhaitez conserver le même alliage il me faudra passer une commande pour les matières premières.

Je peux si vous le souhaitez, vous fournir un rendu similaire avec un alliage de ma composition, cela vous épargnera l'attente pour les matières premières, la solidité et le tranchant seront celle que vous me demandez."

Elle l'emmena faire un tour dans sa boutique, et l'emmena près de l'épée Mâat, l'une des épées à lame blanche de sa boutique.

"Le rendu de la lame serait similaire à celui la."

Elle le laissa examiner la lame pour savoir si cela lui convenait, en attendant elle alla faire les comptes.

Elle examina l'armure, il était plus avantageux de remplacer les pièces les plus endommagées, à savoir une jambière et une protection sur l'avant bras, quant à la trace de griffure sur le torse elle pouvait la réparer sans changer la pièce.

Citation :: Commande d'une lame
Tranchant ● ● ● ● ● 300 Tsuris
Résistance ● ● ● ● ○ 280 Tsuris
Maniabilité ● ● ● ○ ○ 150 Tsuris

+ Inscription 75 Tsuris

Attaque Feu 150 Points
Résistance Feu 200 Points

Réparation de l'armure : 250 Tsuris

TOTAL
1055 Tsuris + 350 Points

▼ Succès ▼▲ Succès ▲

Le Rôdeur fit la moue devant la réponse de la forgeronne avant de faire non de la tête. il répond calmement, sans même regardé l'épée exposée.

Pour l'armure, tout est parfait. En revanche pour l'épée, Il est hors de question de remplacer cette Lame. Elle me vient de mon père et c'est un héritage familial que je ne remplacerais pas. "

Prenant les deux pièces de son épée, et les posant sur la table, le Rôdeur, exposa la situation, montrant la lame brisé et tenant le manche pour en montrer du doigt le système de démontage interne, certes très classique mais efficace.

"Si vous êtes capable de refaire les inscriptions à l'identique, alors vous pouvez fondre la lame ainsi que le morceau brisé encore incrusté dans le manche, il faudra juste le désassemblé pour cela en faisant sauter les rivets qu'il faudra remplacer aussi du coup. Ainsi, vous pourrez la recouler et la reforger à partir du même métal, ce qui réglera le problème sur la solidité et la matière première"

Reposant avec soin le manche sur la table. Le Rôdeur prit une inspiration et continua sur sa lancée, conscient que cela allait prendre plus de temps que de simplement "remplacer" l'épée. Mais il était impossible pour lui de remplacer l'épée offerte par Astriel. Sa voix n'avait pas été agressive, mais le Rôdeur savait ce qu'il voulait.

" S'il vous faut de l'attente pour recevoir plus d'Acier Blanc ou d'Acier de Damas pour y apporter les modifications que je souhaite, alors j'attendrais. Si la durée et la complexité du travail nécessite une révision des prix, alors qu'il en soit ainsi."

▼ Succès ▼▲ Succès ▲

18/08/2013

Ariez comprit l'attachement psychologique à cette arme, héritage familial. C'est donc pour ça qu'il voulait préserver au maximum la lame originale. Ariez s'interrogea sur le fait de mettre cet héritage en danger en combattant avec. Pourquoi ne pas l'exposer sur un mur à l'abri, et se battre en utilisant une autre arme avec uniquement une valeur pécuniaire. A chaque combat il risquait d’abîmer son héritage et à force de réparation la lame perdrait de sa force. Refondre le métal n'était pas sans conséquence pour la pureté de l'épée par ailleurs, à force de refonte elle allait se détériorer.

Mais Ariez n'était pas là pour le faire changer sa façon de penser, il voulait refondre cette arme, alors soit.

"Bien, je dois donc faire une commande de matériaux.. Il y en aura pour plusieurs semaines au minimum. Pour l'inscription ce ne sera pas un problème je vous la referais à l'identique. Je dois faire un devis en fonction du prix fixé par mon fournisseur, mais il faudra rajouter au moins 200 ou 300 Tsuris au précédent prix que je vous ai donné."

Elle ignorait quelles étaient ses ressources, mais si tel était son désir il allait devoir payer l'acheminement des matériaux et le travail supplémentaire demandé à Ariez. Elle essaya de voir sur son visage si cette hausse de prix avait un quelconque impact - positif ou négatif - sur son expression.

"Cette fourchette de prix vous conviendrait-elle ?"

▼ Succès ▼▲ Succès ▲

Le Rôdeur écoutait avec patience ce que lui disait la forgeronne, espérant qu'elle comprenne ce qu'il attendait d'elle. Visiblement ce fut le cas, ce qui enchantait Yuurei. Elle annonçait les nouvelles conditions de travail pour sauvegarder cette épée ainsi que la nouvelle fourchette de prix.

"Bien, je dois donc faire une commande de matériaux.. Il y en aura pour plusieurs semaines au minimum. Pour l'inscription ce ne sera pas un problème je vous la referais à l'identique. Je dois faire un devis en fonction du prix fixé par mon fournisseur, mais il faudra rajouter au moins 200 ou 300 Tsuris au précédent prix que je vous ai donné. Cette fourchette de prix vous conviendrait-elle ?"

Yuurei souriait à la demoiselle et hocha la tête à l'affirmative, le contrat lui convenait. Portant la main à sa bourse, le Rôdeur lança à la demoiselle d'un ton sonore et agréable malgré sa voix naturellement grave.

" Aucun soucis pour moi, cela me convient très bien. Je peux vous laisser une partie du paiement immédiatement, et le reste à la commande ou je règle le tout à réception. Je peux vous avancer de, disons 800 Tsuris ?"

En réalité le Rôdeur pouvait aller jusqu'à 1200 Tsuri, soit la quasi-totalité de ce que peut couter au maximum toutes les réparations et plus de la totalité sur ce que cela peut couter au minimum. Après une courte pause, le Rôdeur posa une seconde question à la forgeronne.

"D'ici combien de temps pensez-vous avoir fini ? Vous pourriez le faire savoir à Astriel, le marchand d'antiquité dans le quartier marchand ? Histoire que je sache quand venir récupérer mes affaires."

▼ Succès ▼▲ Succès ▲

18/08/2013

Son client lui proposa de payer une partie tout de suite mais Ariez n'avait pas pour habitude de prendre d'acompte. Même si l'argent lui manquait et qu'il aurait été appréciable pour elle d'avoir ce payement tout de suite, sachant qu'un long mois de travail s'annonçait pour satisfaire son client avant de pouvoir toucher le moindre sous, elle ne prit pas son argent.

"Vous me payerez la totalité quand vous verrez le travail terminé et que vous aurez obtenu satisfaction."

Il lui proposa d'informer un autre commerçant de la rue marchande quand le travail serait terminé, mais Ariez n'avait pas l'habitude de ce genre de pratique, si elle passait aussi du temps à chercher à qui transmettre le message, en parcourant les rues commerçantes à la recherche de la bonne personne, et ce pour toutes ces commandes, elle n'avait pas fini.

"Je ne fais malheureusement pas office de messager, vous reviendrez dans un mois voir si votre commande est prête, ou si vous n'êtes pas dans la région demandé à Astriel de venir voir pour vous."

Le plus long serait la commande des matériaux, elle espérait être fournis d'ici deux à trois semaines, ce qui rendait le délai d'un mois plausible. Il faudrait peut-être jusqu'à un mois et demi en cas de retard de livraison, mais rarement plus. Le faire revenir dans un mois lui sembla la meilleure solution.
Sur ce, elle salua son client, gardant bien précieusement la lame cassée ainsi que l'armure abîmé, elle lui donna rendez vous pour le mois prochain.

(Je me permets de faire directement avancer le rp pour ne pas te retarder plus longtemps)

Un mois plus tard, Ariez était ravie. Elle avait obtenu l'acier qu'il lui manquait dans les temps, son fournisseur avait été efficace en plus de ne pas lui faire payer les matériaux trop cher. Elle avait pu refondre la lame en une nouvelle et lui redonner un second souffle sans en abîmer trop la pureté, tout en apportant les modifications demandées par son client. Elle avait ensuite procédé à la réalisation de la gravure, à l'identique comme convenu, puis à la réinsertion de la lame à la garde.

Elle c'était également occupé de remplacer les pièces d'armure abîmées par de nouvelles à l'identique des anciennes pièces.

Elle espérait ne pas avoir accomplis tout ce travail pour rien et que son client reviendrait bien lui payer ce qu'il lui devait, après tout cette lame semblait très importante pour lui.

▼ Succès ▼▲ Succès ▲

Aventure #7 écrite Ven 27 Mar 2015, 23:41

La notion de temps qui passe est aussi relative qu'absolue. Bien qu'une minute soit une minute, éternellement composée de soixante secondes exactement identiques entre elles, le ressenti de leur passage est clairement dépendant de notre perception de l'instant présent. Restez dix secondes les doigts coincés dans une porte et cela semblera être une véritable éternité mais si vous devez analyser le temps qui passe quand vous êtes en train d'organiser les prémices d'un concours de tir à l'arc, alors vous souhaiterez bientôt des journées de quarante huit heures.

C'est ce que ressent Astriel en ce moment, son fils ayant regagner la forêt et son épouse étant absente pour aller voir sa sœur à Rorn, notre pauvre cinquantenaire devait gérer le projet du tournoi de tir à l'arc ainsi que ses fonctions au sein de la guilde marchande et bien sur, faire tourner sa boutique. Bref, ce n'était vraiment pas le jour pour flemmarder. Pas de chance, en plus de toutes ces taches journalières, aujourd'hui Astriel devait récupérer l'armure en acier sombre de son fils et l'épée familiale dans la forge d'Ariez.

Ce fut un homme aux trait tirés et aux yeux fatigués qui poussa la porte de la jeune forgeronne. Astriel n'était sans doute pas un inconnu ici-même. Entre ses fonctions au sein de la guilde marchande et son magasin hérité de son propre père. Notre homme avait eu l'occasion d'échanger avec presque tout les commerçant de cette ville désormais. Il lança d'une voix sonore pour signaler sa présence à la forgeronne :

"Bien le bonjour à vous. Je viens récupérer une commande passée par mon Fils, Yuurei. Je viens récupérer son armure et l'épée familiale et vous réglez ce qu'il vous doit. La commande est prête ? "

Astriel scrutait le fond du magasin, espérant voir la forgeronne arriver et lui annoncer qu'il n'avait plus qu'as prendre la commande terminée. Il avait dans la main, la bourse de Yuurei contenant ses Tsuris, largement de quoi régler la commande effectuée auprès de la forgeronne.

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Spoiler:

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▼ Succès ▼▲ Succès ▲

18/08/2013

Ariez attendait toujours de voir son client venir chercher commande, mais c'est un homme au visage familier qui franchit sa porte. Elle reconnut tout de suite le lien de parenté avec son client, du fait de leur forme de visage très proche voir même identique, il semblait que seules les marques de l'age différenciées leur deux visages. Mais cet homme lui disait aussi quelque chose car elle avait déjà eut affaire à lui par le passé, bien qu'elle ne puisse se remémorer sur l'instant en quelles circonstances. Elle ne chercha pas à en savoir plus sur l'instant, l'important était qu'il venait de confirmer son lien de parenté avec Yuurei, son client, et qu'il venait récupérer la commande à sa place. Ariez n'était pas très à l'aise à l'idée de laisser la commande à une autre personne que le commanditaire lui même. Elle ne pourrait pas voir si le résultat lui convenait, s'il avait d'autres modifications à demander ou s'il était satisfait.

Mais, le regard d'Ariez se perdit sur la bourse de Tsuris bien rempli. Si Yuurei était en voyage et ne pouvait prendre la commande lui même, elle retardait aussi sa rentrée d'argent en refusant de confier l'arme à son père. D'autant que c'était une grosse commande qui avait été passé, et qu'elle allait faire de sacrés bénéfices.

"Bonjour ! Elle est prête, je vous l'amène tout de suite."

Elle partie chercher la lame, comme neuve, et les pièces d'armures remises à neuf elles aussi. Elle laissa Astriel examiner son travail et juger de lui même si cela conviendrait à son fils.

"Je n'ai pas pour habitude de laisser la commande à un membre de la famille, mais vous direz bien à Yuurei que s'il a la moindre question ou remarque sur mon travail, il ne doit pas hésiter à revenir ici."

Elle refit rapidement les comptes, puis lui annonça le montant avec un grand sourire.

Total : 1355 Tsuris + 350 points

(HRP : je te laisse clôturer dans ta prochaine réponse Wink

)

▼ Succès ▼▲ Succès ▲

Astriel regardait la forgeronne arriver les bras chargées par l'armure d'acier sombre de Yuurei et l'Epée familiale. Dès l'instant ou Ariez posa le tout sur la table, Astriel entreprit d'examiner la pièce la plus importante à ses yeux. Empoignant la garde de cette épée, notre marchand et ancien aventurier se rappelait pas mal de ses aventures où il avait cette lame à ses côtés. Beaucoup de choses refaisaient surfaces : de bons souvenirs, des risques inutiles, des aventures diverses et variées et pour finir un duel contre une contrebandière de renom qui a donné naissance à une tout autre aventure l'obligeant à renoncer à son épée et son arc pour embrasser sa carrière de marchand.

Astriel défourailla la lame et regarda celle-ci dans les détails, l'acier avait été recoulé à la perfection. Visiblement plus solide qu'avant tout en étant correctement maniable et avec un fil tranchant absolument parfait, cette lame devenait une arme d'exception. Elle semblait également "modifiée" pour etre plus affinée avec l'élément d'Ignis ce qui ajoutait à sa beauté globale. Cela était une belle oeuvre de Forge, sans aucun doute, mais Astriel portait son attention sur autre chose. Le chef de la guilde Marchande regardait les runes de très près, scrutant le moindre détail sur leur reproduction.

Il n'y avait aucun défaut, ni sur cette lame qui était une perfection assurée, ni sur les runes reproduites à l'identique. Astriel passa donc à la partie suivante, l'armure. Un rapide coup d'oeil sur l'ensemble indiquait un travail de même qualité, pour un ensemble parfaitement satisfaisant. Cette armure était bien conçue et pratique d'utilisation, mais n'avait aucune valeur affective.

Ariez annonça le montant à Astriel qui grimaçait un peu. Yuurei lui avait laissé sa bourse et annoncé un prix "un peu plus cher que 1055 Tsuris". 1355 Tsuris n'était pas que "un peu plus cher". Recomptant le contenu de la bourse de son fils, Astriel arriva à un montant de 1275 Tsuris exactement. Il allait manquer 80 Tsuris qu'Astriel allait devoir débourser de sa bourse à lui, Yuurei les lui rendrait en rentrant ... et aura droit à un tirage d'oreilles !

1355 exactements, merci beaucoup Damoiselle ! Permettez-moi de prendre congés, j'ai malheureusement une multitude de choses à faire avec l'organisation du tournoi de tir à l'arc.

Astriel prit donc les affaires de son enfant après avoir donné la bourse de Yuurei à Ariez, complétée du montant exact de la commande. Saluant la demoiselle d'un geste de la main, le marchand quitta sa forge, paquet sous le bras et un air pensif sur le visage. Une multitude de choses à faire l'attendait encore.

FIN

▼ Succès ▼▲ Succès ▲

▼ Succès ▼▲ Succès ▲