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Ushiran
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Rien Rien Rang : Simple membre Ushiran Squ7
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Crédit Avatar : Ryu !
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Elément : Feu
Métier : Dragon à temps plein
Invocateur : Edvah
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Ushiran

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Aventure #1 écrite Mar 24 Sep 2013, 21:55
I - Identité

Nom: --

Prénom: Ushiran

Sexe: Masculin

Elément associé: Feu




II - Caractère

Engendré par un Ignis colérique, voulant montrer par sa création la suprématie du Feu sur l’Air après une dispute avec Aer, Ushiran hérita d'un tempérament explosif en plus de sa forme de dragon chère au Dieu de l'Air. Il aurait d'ailleurs pu en ce sens passer pour le fils de ce dernier s’il avait eu les ailes que le Dieu du Feu n'a pas pu lui donner.


De la colère d’Ignis, Ushiran a aussi hérité d'un tempérament très provocateur et combattif, qui se heurte souvent aux règles qui lui sont données et qu’il n’écoute que parce qu’il aime par-dessus tout les outrepasser. Préférant se laisser aller sans aucune restriction, le demi-Dieu aime être grisé par ses sentiments : lorsque son sang devient bouillant sous le coup de l’adrénaline à laquelle il se drogue ; lorsqu’il se déchaîne sur le champ de bataille, dans un ballet mortel de couleurs et d'adresse ; ou encore lorsqu’il aime ou hait sans limite. Préférant croquer la vie à pleines dents, Ushiran ne se plie donc à une contrainte que s’il y est forcé.


Notre dragon adore aussi jouer avec le Feu, au sens propre comme au sens figuré : il aime prendre des risques ou se mettre dans des situations dangereuses, et aime les résoudre en carbonisant tout ce qui le dérange. Ou plutôt en carbonisant tout, que ça le dérange ou pas, profitant impunément de son affinité avec cet élément. Tel un grand enfant, il agit sans juger les conséquences de ses actes, ou bien comme s’il s’en fichait royalement, ne cherchant au final qu’à s’amuser.


Par extension il aimera aussi probablement mettre son invoqueur ou invoqueuse dans des situations périlleuses, pour voir ses réactions et le ou la tester en quelque sorte, mais surtout parce qu’il trouvera ça amusant. Cependant il lui restera fidèle et cherchera à le ou la sortir d’une telle situation comme si lui-même y était confronté.


Considérant l’Ordre comme une source de dictature et d’ennui, il déteste en ce sens les règles qu’il lui est impossible d’outrepasser, à savoir celles qui sont imposées par les Dieux, et donc indirectement celles que lui donnera son invoqueur, qui constituent ensemble les seules qu’il jugera comme non transgressables. Ce n’est pas pour autant qu’il mettra de la bonne volonté à obéir à ces ordres et il est possible – probable même – qu’il cherche à en exploiter la moindre faille. Par ailleurs, il n’aime pas non plus les Invocations de l’Air, de par la jalousie qu’il éprouve envers elles due à son incapacité à voler autant que par les restes du ressentiment qu’Ignis éprouvait envers Aer lorsqu’il a créé Ushiran. Pour ce qui est des autres humains, le demi-Dieu les méprise tout simplement.


Dans son rapport avec les autres, Ushiran est considéré comme hautain, orgueilleux et dédaigneux, considérant toute chose et tout être, les quatre Dieux mis à part, comme une source potentielle d’amusement pour lui. Cependant, bien qu’il soit difficile à atteindre à cause du détachement que le dragon montre vis-à-vis de tout, il se cache derrière cette carapace un cœur aussi ardent que le Feu qu’il incarne.




III - Physique

Spoiler:
Merci à Ryu

Ushiran est un imposant dragon d'un noir d'encre, dépassant les quatre mètres au garrot pour une longueur des naseaux à la base de la queue de huit mètres, auxquels on peut ajouter la longueur de la queue elle-même, mesurant huit mètres elle aussi. Combattant depuis sa jeunesse, il garde son corps taillé pour la guerre : de haute taille, il est musclé mais pas trop massif afin de garder une agilité et une vitesse satisfaisantes, bien que ce ne soient pas là ses qualités premières. Fidèle à la réputation des dragons, ses écailles sont d'une résistance impressionnante, particulièrement sur le dos et la poitrine. Cependant, bien que solides aussi, les petites écailles recouvrant son ventre sont plus tendres. Des motifs d’un rouge sombre se dessinent sur son corps et de longs pics courent le long de sa colonne vertébrale jusqu'au bout de sa longue queue. Enfin deux cornes imposantes ornent sa tête, percée de deux yeux rouges au regard brûlant.


Une étincelle de curiosité et d’espièglerie brille continuellement dans ces derniers, tandis qu’un sourire se dessine souvent sur son visage, que ce soit de malice, d’amusement, ou de contentement, du à la situation à laquelle il est confronté ou encore parce qu’il imagine quelque chose à faire qui lui plairait. Son sourire pourrait être communicatif, mais laissant apparaître les nombreux crocs qui ornent sa gueule, il a plutôt un côté dérangeant si ce n’est effrayant. Ces signes de joie qu’il exprime se volatilisent dès qu’il est forcé à faire quelque chose, ce qui fait apparaître sur lui un masque de tristesse qui le transforme en ce qui semble être le plus malheureux des êtres du monde, accomplissant les tâches qui lui sont données comme un robot sans âme, et ce même si ces dernières lui plaisent : c’est comme si le fait d’y être forcé leur ôtait toute leur saveur.


Par ailleurs, Ushiran dégage beaucoup de chaleur, même quand il n’utilise pas de sorts de Feu, rendant la température de l’air qui l’entoure de quelques degrés supérieure à celle de son environnement. Son corps est aussi toujours très chaud, faisant de lui un compagnon très agréable quand l’hiver est rude. Ce phénomène se renforce quand il utilise sa maîtrise du Feu, rendant la température de son environnement proche rapidement infernale tandis que les dessins qui courent le long de son corps prennent une couleur plus chaude, passant du rouge sombre au rouge vif puis au jaune et au blanc, comme s’ils étaient faits de métal chauffé.


Pour la guerre, il se revêt d'une lourde armure de plaques d'un noir aussi profond que ses écailles, parsemée de runes rouge sang ayant les mêmes propriétés que les dessins parcourant son corps, et sur laquelle sont fixées des lames éfilées au niveau des articulations, de couleur noire tendant vers le rouge elles aussi. Par son poids, cette armure le ralentit de façon assez conséquente.




IV - Vie

Dans la légende, les Dieux sont souvent représentés comme des êtres irréprochables, s’entendant à la perfection les uns entre les autres, tandis que leurs enfants, les demi-Dieux, ont amené la discorde avec leur créature, l’être humain. Pourtant, je me rappelle très bien que quand je suis né, Ignis et Aer étaient dans une colère folle et se disputaient violemment. Ce fut même probablement la raison de ma création. Dans un volcan entré en éruption pour l’occasion, le Dieu du Feu m’insuffla sa colère et me donna la force de son élément. Il me modela avec la forme d’un dragon, pour narguer son homologue de l’Air, mais ne put me donner des ailes, le Ciel restant le domaine d’Aer.


Cependant leur dispute finit par se terminer, aussi Ignis me confia la tâche de veiller sur cette terre, tâche pour laquelle il n’avait clairement pas l’intention de me destiner quand il m’avait créé, et donc pour laquelle je n’étais absolument pas conçu. C’est pourquoi je m’en suis très vite détourné : regarder la lave faire des bulles, c’est amusant un temps, mais on s’en lasse vite…


Je me suis donc mis à parcourir le Monde pour partir à la découverte de ce que nos créateurs nous avaient laissé en héritage. Ce dernier était bien beau, mais un peu petit : on en faisait vite le tour. Et même s’il y avait des variations, on retrouvait rapidement les mêmes choses partout, bien qu’elles soient habillées différemment.


Je me suis amusé un temps avec les capacités que m’avait données Ignis, faisant apparaître des volcans aux endroits les plus improbables, comme dans les déserts ou encore sur la banquise (c’est d’ailleurs là que le spectacle est le plus joli si vous voulez mon avis), ou encore en testant la combustion des différents éléments du Monde qui nous avait été laissé, qu’ils soient solides, liquides ou encore gazeux.


Mais le nombre de ces derniers n’était pas infini, je n’eus rapidement plus rien à faire. C’est à peu près à ce moment que je me suis mis à tester mes aptitudes au combat. Après tout c’était bien pour ça que j’avais été créé. Je me suis donc mis à défier tout le bestiaire avec qui nous partagions ce caillou perdu dans l’espace. Si quelques uns de ces animaux demeuraient intéressants, la plupart étaient cependant d’une nullité affligeante. Ils avaient probablement leur utilité dans le monde de nos divins créateurs, mais heureusement qu’ils n’avaient pas des dragons pour prédateurs, ou nous n’aurions pas eu besoin des humains pour les faire disparaître de ce monde.


Je me tournai donc vers mes frères, qui semblaient avoir un potentiel nettement plus intéressant, en commençant par les fils et filles d’Aer, contre qui j’éprouvai une certaine rancune, bien qu’eux-mêmes n’y pouvaient rien. Je continuai ainsi à perfectionner mes techniques, même si malheureusement la plupart des enfants des Dieux n’étaient pas très combattifs. J’appris à redouter les enfants d’Aqua, qui prenaient un malin plaisir à éteindre les beaux feux que j’allumais, et à m’entendre avec ceux de Terra. Je fis notamment un excellent duo avec une demi-déesse de la Terre, créée à peu près pour les mêmes raisons que moi lors d’une dispute de son créateur avec Aqua. Nous nous complétions donc parfaitement au combat, ses forces comblant mes faiblesses et réciproquement, en plus de quoi nous nous entendions à merveille.


C’est lors de la traque de l’un de nos frères pour un jeu quelque peu violent que nous découvrîmes le projet de création de l’Homme. En effet notre adversaire refusa d’attaquer car «  il avait bien mieux à faire que de se battre comme un sauvage, il devait créer l’être qui serait supérieur à tous les autres, celui qui comblerait nos parents de joie, et nous ferions à ce propos bien mieux de rejoindre son groupe ». Pas mécontent de voir un peu de nouveauté dans ce monde ennuyeux, j’attendis donc avec impatience de voir le résultat de leur création, en me gardant bien d’y participer, car ce ne serait pas drôle si je connaissais déjà le résultat.


Quelle ne fut donc pas ma déception quand je vis celui-ci : un machin rosâtre d’une faiblesse à faire mourir de rire une limace, tout juste capable de tailler quelques cailloux en pointe pour pallier aux innombrables défauts que mes frères leur avaient donnés. J’eus même presque pitié d’eux… Cependant je devais avouer qu’ils avaient bon goût, c’était au moins ça de réussi. J’en chassai donc quelques uns pour le plaisir avant de me trouver une autre distraction.


Je fus donc particulièrement surpris quelques millénaires plus tard (qui passèrent vite, le temps passe toujours vite quand on s’amuse) quand je vis les prouesses qu’avaient fait les humains, moi qui croyais qu’ils ne tiendraient pas deux siècles avant de se faire balayer par leur environnement hostile. Ils avaient appris à exploiter les ressources de la terre pour se sédentariser et à ériger des défenses pour se protéger, contre les prédateurs, mais surtout… contre eux-mêmes. Voilà qui était surprenant… et amusant. Il faut dire qu’ils ne manquaient pas d’ingéniosité pour s’en mettre joyeusement plein la tronche, des défenses étaient donc loin d’être superflues.


Cela marqua pour moi un vif retour d’intérêt envers eux, et je pris donc rapidement contact avec un groupe d’humains, pour qui je devins le Dieu de la Guerre. Je pus donc participer à leurs batailles, et aider mon petit groupe à devenir une nation puissante, crainte et respectée par ses pairs. Il était amusant de pouvoir gérer les besoins de ces petits êtres ainsi que leur organisation politique, religieuse et sociale. C’est fou ce qu’ils pouvaient trouver comme inventions pour régler leurs problèmes. Où avaient-ils étés chercher l’idée d’échanger des bouts de métal doré – qui certes avait des propriétés physiques intéressantes, mais ils ne savaient alors pas les exploiter – contre les éléments nécessaires à leur survie et leur confort ?


Pour ce qui est de la guerre, mes petits protégés se montraient aussi créatifs, inventant des armes de siège pour percer les murailles ennemies, des armes plus efficaces contre leurs armures, mais surtout des stratégies aussi tordues que géniales, exploitant les faiblesses de leurs adversaires et permettant ainsi à une troupe qui se serait faite laminer en combat frontal de remporter une victoire écrasante. Ces tactiques jouaient aussi sur le moral des adversaires pour leur faire croire une bataille perdue d’avance alors qu’ils avaient toutes les chances de la gagner, et les rendre ainsi moins combattifs, ce qui entraînait leur défaite. Des stratégies élaborées par des hommes qui jouaient sur les faiblesses même de l’être humain pour éliminer d’autres hommes, voilà qui était un paradoxe fort distrayant. D’autant plus que les généraux étaient plein de surprises car ils devaient constamment innover, une stratégie nouvelle et donc inconnue des adversaires étant toujours plus efficace.


Je demeurais cependant leur meilleure arme, quand je me décidais à participer au combat, tant au niveau de la puissance d’attaque que du moral adverse qui chutait en flèche en m’affrontant. Cela arrivait rarement cependant, car je considérais que tout l’effet de surprise sur le dénouement d’une bataille était ainsi gâché et que c’était nettement moins amusant que de les regarder s’entretuer. C’est à peu près à cette époque que bien que cela ne me soit pas nécessaire pour attaquer les armées d'alors, mettant un point d’honneur à combattre avec classe, je me suis forgé une armure, dans un alliage qu’ils n’avaient pas encore découvert et avec une structure qu’ils n’utilisaient pas. Ils adoptèrent en effet l’armure de plaques seulement un millénaire plus tard et l’alliage que j’avais utilisé quelques millénaires après encore.


Après quelques siècles, l’empire sur lequel je veillais, qui régnait alors sur un territoire conséquent, vit apparaître en son sein une nouvelle religion. Peut-être avait-elle été lancée par l’un de mes frères, peut-être était-elle juste le fruit de l’imagination débordante des humains, toujours est-il que pour ce culte, il n’y avait qu’un seul dieu, et je n’avais donc plus ma place dans leur panthéon, apparaissant même pour eux comme un démon.


Ce nouveau statut ne me dérangea pas, je le trouvais même plutôt amusant quand des chevaliers se mettaient en tête de « tuer le démon » que le dragon que je suis incarnait. Cela me permettait aussi de participer à des batailles quand l’envie m’en prenait, en ayant la possibilité de tailler dans un camp comme dans l’autre sans distinction. Je pris cependant à cette époque un rôle plus discret, observant de loin leurs progrès, trouvant la mentalité des humains d’alors moins amusante que celle d’avant. À moins que ce soit tout simplement parce que je m’en lassais.


Quoiqu’il en soit, si je fus là pour assister à leur découverte de la poudre, je ne le fus pas au début de l’ère industrielle, et je ne compris donc pas quand je vis mon affinité avec le Feu diminuer tandis que mes capacités s’altéraient. Je fis cependant vite le rapprochement quand je vis le ciel noirci par les usines humaines et l’usage inconsidéré qu’ils faisaient de l’énergie du Feu. En plus de cela, leurs armes devenaient particulièrement destructrices, au point de pouvoir maintenant nous blesser, et pour couronner le tout, leurs guerres, en plus de pulvériser l’environnement, ne présentaient plus aucun intérêt.


Je me mis donc en tête d’annihiler cette abomination amenée sur notre monde par mes frères, mais alors que les humains agissaient de concert, nous, demi-dieux, œuvrions seuls ou par petits groupes, habitués au fait qu’un seul d’entre nous aurait probablement, en temps normal, été capable de tous les exterminer. Mais notre puissance étant devenue ridicule, ils gardaient ainsi un avantage conséquent, à tel point que si les humains constatèrent que les éléments de déchaînaient, je ne suis même pas sûr qu’ils devinèrent que nous étions derrière cela.


Notre monde partait à vau-l’eau et ne serait bientôt plus et les humains prévoyaient de le fuir. Je mis toute ma force pour les détruire bien que cela soit vain, et envisageai même pendant un moment de m’introduire de force dans un de leurs vaisseaux s’il nous était impossible de sauver ce monde pour tenter ma chance ailleurs, mais je n’en eus pas le temps.


Effectivement, nos créateurs revinrent peu avant le départ prévu des humains, et ce qu’ils découvrirent les fit entrer dans une rage bien pire que celle dans laquelle j’avais vu Ignis et Aer à ma naissance. Ils firent en un instant ce que nous tentions de faire depuis un siècle en exterminant l’humanité et une bonne partie du monde avec. Je crus qu’ils nous réservaient le même sort, mais ils avaient prévu autre chose à notre égard. Ignis érigea en effet un temple du Feu, et m’enferma dans une cellule de ce dernier, privé de toutes mes perceptions et pouvoirs.


Je suis conscient que je ne fus pas un demi-dieu idéal, ne cherchant pas à améliorer le monde qu’on nous avait confié quand il allait bien, mais peut-être justement que le mieux étant l’ennemi du bien, j’avais accompli ma tâche de meilleure façon en m’en abstenant plutôt qu’en essayant de créer l’être humain. Je ne savais donc pas si je méritais ou non ma punition, mais dans tous les cas je n’avais pas mon mot à dire à ce sujet et ne pouvais qu’attendre entre ces quatre murs ennuyeux.


Je sais que les Dieux ont recréé les humains, et que ma seule chance de sortir de cet endroit serait d’être au service de l’un de ces machins roses. C’est là un cruel retour des choses pour moi qui ai été le dieu de centaines de milliers d’entre eux, et bien que j’aurais sûrement trouvé la situation cocasse si je n’en avais pas été le principal concerné, en l’occurrence non, ce n’est définitivement pas amusant.



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Aventure #2 écrite Mer 25 Sep 2013, 22:22
Pour ne pas déformer la page, je t'ai mis ton sphérier et l'image de ton physique en spoiler. J'ai aussi changé les fausses barres de séparation (faites avec des ___ )par des vrais barres de séparation (merci FA)

Je te valide !

BON JEU
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