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Kamaël
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Rien Rien Rang : Simple membre Kamaël Squ7
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Kamaël

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Aventure #1 écrite Ven 25 Oct 2013, 21:28

    ● Identité

Nom: /
Prénom: On m'a nommé selon une infinité de façon différente, mais si vous ne deviez en retenir que trois, retenez ceux-là : Kamaël, le Parangon Foudroyant ; Reiyël, le Gardien du Tonnerre ; et Elemiäh, le Divin Éclair.
Sexe: Mâle
Élément associé:  Air, à sous-élément dominant de foudre


    ● Caractère


J'ai assumé pléthore d'identités au cours de mon histoire, revêtu nombre de déguisements et changé de caractères en fonction du personnage que j'incarnais. Je n'en ai cependant pas perdu ma véritable essence :

Je suis le Gardien de la Foudre.

Ce titre, celui qui me fut donné par mon père, Aër, était tout ce qu'il me restait durant mon long emprisonnement. Je m'y suis raccroché avec ferveur, réfléchissant autour de ces mots, leurs sens, leur réalité. Le Monde ayant été détruit, nous n'avions plus lieu d'exister, nous étions semblables aux autres...
C'est donc en proie à une crise d'identité que j'ai passé mes premiers siècles d'internement. Puis, peu à peu, suite à une longue introspection, je me suis redécouvert, semblable à mon élément : la foudre.

Vif, je suis la plupart du temps imprévisible, même si l'un des Gardiens, du fait de notre lien étroit, pourrait deviner les périodes pouvant présenter des risques d'explosion. Du fait de ma nature aérienne, il m'arrive de changer de point de vue d'un instant à l'autre, et plus encore d'un sujet à l'autre, donnant parfois aux discussions auxquelles je prends part un air décousu. Il ne faut toutefois pas croire que je donne ma parole et la reprends comme une girouette : Je suis un Dieu, et une parole donnée est une parole scellée. Je ne reviens jamais sur les termes d'un contrat, tant que l'autre parti n'y déroge pas non plus. Et s'il arrivait à cet autre de faillir, je serais alors aussi impitoyable qu'un ange vengeur.
Comme vous l'aurez peut-être deviné en lisant ces quelques lignes, ma fierté, bafouée par mon père, est meurtrie, mais toujours présente et d'une vigueur étonnante au vu de mon histoire. Elle ne sera cependant pleine que lorsque j'aurais atteint mon vœu le plus cher…
Cette fierté m’a donné une résolution : quel que soit l’humain qui me libérerait, je ne l’appellerai jamais que par le titre de Dieu, car seuls ces derniers sont dignes d’être mes supérieurs. Il est fort possible qu’il trouve cela flatteur, ou qu’il n’y voit qu’une facétie de ma part, mais il est quasi certain qu’il prendra cela à la rigolade. Il ne s’agit toutefois que de la partie émergée de l’iceberg, l’autre étant mon aspiration la plus profonde, qui devait faire trembler tout ce Monde : Venger l'affront que me fit Aër en me dépouillant de la quasi-totalité de mon être pour une erreur que je n'ai jamais commise, même si cette vengeance devait passer par l'annihilation des quatre Dieux.
Humains et Dieux ne sont cependant pas les seuls à devoir craindre pour leur existence : Les Oisifs sont également de ceux qui subiront ma vengeance et sur qui j’établirais mon autorité, puisqu’ils sont responsables de la création même de l’homme.
Cependant, ce brouhaha émotionnel ne sera pas perceptible par les pauvres humains qui auront l’heur (souvent mauvais) de croiser mon chemin. Je ne serais pour eux qu’un masque d’une illisible neutralité, gravé dans une matière qu’un diamant lui-même ne saurait ébrécher. Il est tout juste assez malléable pour me permettre d’exprimer cynisme et moquerie, ce qui me suffit amplement.

Pour résumer tout ceci, je n’énoncerai qu’une phrase :

Dieu de l'air, Maître du tonnerre, au caractère changeant, à l'esprit sans cesse mouvant, telle est mon identité, Divinité aux ailes brisées.



    ● Physique


Le physique d’Elemiäh n’est pas celui que l’on pourrait imaginer de prime abord de la part d’un Dieu. Ce n’est aucunement un rempart contre l’adversité ou une muraille contre un quelconque ennemi. Son physique est l’expression même de son élément : finesse et vivacité. Pas de membres gros comme des troncs ou de torse de chevalier blanc. S’il en a la couleur, ses 2m50 sont plutôt constitués par un corps élancé et des membres allongés. Son corps d’albâtre est constitué d’une série de plaques articulées, semi-rigides et chaudes au toucher, le protégeant des agressions physiques et magiques avec efficacité. Afin de multiplier les options offensives, la quasi-totalité de ses articulations sont hérissées de pointes rigides pouvant provoquer de lourds dégâts. Ces pointes se retrouvent également sur ses épaules et dans son dos en un Y légèrement arrondi, excepté au niveau de ses deux magnifiques ailes, d’une envergure immense et d’une taille tout aussi étonnante. Leur bord supérieur est hérissé d’une multitude de petites épines tranchantes espacées de quelques centimètres. Sous ces ailes émergent une paire de queues segmentées sans toutefois perdre de leur souplesse. D’une longueur supérieure à celle de ses jambes, elles battent souvent l’air autour de lui. Il lui arrive fréquemment de s’en servir comme des mains secondaires afin de se saisir d’objet ou encore porter des coups, puisque, comme chacune de ses extrémités, elles sont hérissées.
Ce corps fin et pâle est recouvert de fines glyphes rouge sang courant sur sa peau et partout sur son corps, luisant légèrement dans la lumière du jour. Son visage est un masque inexpressif, qui ne s’anime que rarement pour se parer d’un air le plus souvent goguenard.

Toutefois, du fait de son statut de traqué durant une longue partie de sa vie, lorsque les Oisifs les pourchassaient, lui et ses camarades, son corps s’est adapté à son environnement afin de le camoufler plus facilement : L’albâtre s’efface pour laisser paraître l’ébène, tandis que le rubis laisse place aux saphirs. La seule chose invariante est située au beau milieu de son torse : une sorte de mini-éclair tubulaire court sur sa poitrine, suivant l’axe de la colonne vertébrale, irradiant en quasi-permanence d’un éclat jaune.

Lorsqu’il a recourt à la magie, cet éclat s’intensifie et les glyphes parcourant son corps brillent d’une lueur plus forte et plus clair, fonction de la puissance de la magie utilisée.

Toutefois, si vous vous aventurez à tenter de le sortir de sa geôle, ce n’est pas ainsi que vous le trouverez…


    ● Vie

Histoire:

I- Genèse :


Je fus l'une des toutes premières créations de mon père, Aër. Le Dieu des Airs avait besoin, comme chacun des autres Dieux, de ses fils et filles pour maintenir la cohésion de son œuvre. Certains demi-dieux ne se virent attitrer aucune mission particulière, seulement chargés de veiller globalement sur la Création. Ils furent vite appelés les Oisifs par les autres. D'autres, en nombre très restreint, soit 8, un par déclinaison de la puissance de nos pères, devaient veiller sur des parties très précises de l'Œuvre, et avaient sur ces domaines la préséance sur leur congénères : les Gardiens.

J'étais l'un de ceux-là, et mon rôle consistait à maîtriser tempêtes et orages. Utilisé conjointement avec les dieux des autres éléments, il s'agit d'un puissant outil de régulation, que ce soit des reliefs ou des populations. Je m'évertuai donc à ma tâche, lié directement aux autres grâces aux liens télépathiques que tissaient entre nous les invocations de la terre, et nous étions ainsi directement au courant des besoins les uns des autres.

II- Indépendance et Rébellion :

Quand les Dieux eurent vérifié que leur Monde était entre de bonnes mains et que la machinerie complexe qui le maintenait en cohésion tournait sans accrocs, ils se retirèrent, nous laissant seuls avec nos responsabilités. Dans les siècles qui suivirent, nous étions comme des enfants obéissants, faisant exactement ce que nos parents nous avaient dit avant de nous délaisser. Nous travaillions à l'unisson, et si cet état de fait était prenant pour les semi-divinités dont la charge avait été précisément fixée, il était d'un ennui létal pour celles dont la tâche était plus générale. Nous grandissions et atteignirent bientôt un état d'esprit correspondant à celui d'un adolescent humain, comme nous pûmes nous en apercevoir plus tard. C'est l'âge auquel on se croit savant et tout-puissant, égal, voir supérieur, à nos parents. On souhaite alors imiter, reproduire et dépasser les actes de nos parents. C'est ainsi que, dans l'esprit de certains, naquit une idée à l'aspect brillant : Créer LA vie. Mettre au monde la forme de vie la plus parfaite possible, après nous et les dieux. Cette idée grandit encore et toujours, sans la moindre cesse, chacun y allant de son opinion, ajoutant son idée. Etant trop occupé par ma tâche pour me mêler aux débats, je n'en percevais que des bribes, et apprenait la plupart des détails de ceux qui étaient liés à moi par des liens télépathiques. Certains d'ailleurs se relayaient afin que l'un d'eux puisse aller aux nouvelles. Le groupe des oisifs était sur le point de mettre un point final à leur création lorsque j'appris quel était-il : ils allaient leur donner l'Intelligence. Cette pensée me laissa perplexe, appréhendant quelque peu les évènements à venir dès lors que cette nouvelle espèce existerait : comme on pouvait s'en apercevoir au sein même de nos rangs, l'intelligence induisait la réflexion, et la réflexion entraînait des dissensions, qui à leur tour amenaient des conflits, ce qui menait inévitablement à des dégâts. Et c'était justement ces dommages qui m'effrayaient, car s'ils possédaient une intelligence effective et de quoi la mettre en œuvre, qui sait jusqu'où ils pourraient aller... Il était toutefois trop tard pour éviter le mal, et tout ce que je pourrais faire serait, au plus, de le minimiser une fois commis.
C'est ainsi que l'humanité fut disséminée partout autour du monde. Elle ne manifestait alors guère plus d'intelligence que les autres espèces. Mais, bien décidé à endiguer le mal avant qu'il ne répande ses maux, j'invitais mes collaborateurs à apprendre à ces rampants à craindre la Nature, sans toutefois les éradiquer, car, malgré tout, j'étais un être curieux et je me demandais comment s'en sortiraient ces insectes. C'est ainsi que, priant les Dieux de nous préserver d'un funeste destin, nous libérâmes sur eux marées et tempêtes, tsunami et séismes...

III- Clandestinité et Divinité :

Toutefois, les néo-créateurs, bien plus nombreux que nous, ne voyaient pas les choses de cet œil-là : ils nous traquèrent et tentèrent de nous neutraliser, mais nous nous en échappâmes grâce à nos liens télépathiques et une maîtrise bien plus grande de nos capacités respectives. Dès lors, nous utilisâmes nos pouvoirs de métamorphose afin de nous déplacer, continuant au possible notre travail de maintien de la cohésion et de sape de la force humaine, sans cesse croissante, cependant que les oisifs opposaient leurs pouvoirs aux nôtres dès que cela leur était possible. Les débuts de l'humanité craignaient la foudre et la mer incapable d'appréhender quoi que ce fût au-delà de ce puissant déferlement d'énergie céleste ou de cette étendue traîtreusement calme.
Ce rapport se modifia cependant lorsqu'ils apprirent à forger les métaux et assembler le bois, qu'ils devinrent sédentaires et se regroupèrent en immenses cités. Ils commencèrent alors à adorer ces signes qui effrayaient tant leurs ancêtres, déifiant ces manifestations d'une puissance supérieure. Sautant sur l'occasion, mes compagnons et moi firent apparition sous diverses formes auprès des hommes afin de faire naître les mythes et la divinité. Ces apparitions étaient toutefois très brèves, les Oisifs étant toujours sur nos traces, mais elles nous permirent semer les germes de la religion aux quatre coins de la planète, ce qui nous autorisa alors à gouverner la majorité par l'intermédiaire d'une minorité. Nous nous élevâmes ainsi au rang de Dieux chez les humains, alors que nous n'en étions qu'à peine la moitié, tandis que nous étions des clandestins chez nos propres frères.

IV- Trahison et Rédemption :

Mais cet état de fait de dura pas indéfiniment, et bientôt les minorités, malgré nos puissantes manifestations de colères, modifièrent nos paroles afin de les plier à leurs volontés, car leur intelligence, pour vivace qu'elle put être, n'était pas synonyme de sagesse, mais avait par contre une forte tendance à s'allier à la perfection avec leur cupidité et leur soif de pouvoir. Comme je l'avais craint, c'est ainsi que l'ordre mondial de paix vers lequel nous tentions de mener l'humanité s'étiola sous nos yeux : les diverses populations que nous entretenions dans l'étreinte de la religion, séparées par le manque de moyens de communications de l'époque, se retrouvèrent face à face et, au nom des croyances que nous leur avions inculquées, s'affrontèrent en de sanglantes batailles. Nous nous sentirent tout d'abord coupables d'avoir donné aux dirigeants de telles armes pour mener leurs troupes aux combats, mais il nous apparut bien vite que cela n'était qu'un prétexte : des guerres s'enflammaient de partout, pour de simples histoires de territoires, de richesses ou autres intérêts terre-à-terre. Au début, ces conflits, bien que graves, n'avaient aucune incidence sur nous, du fait de leur armement pitoyable. Mais très vite, et de plus en plus vite au cours des siècles, leur technologie s'accrut de façon exponentielle. Leurs armes devinrent dévastatrices, faisant autant de ravages chez les hommes, combattants ou civils, qu'à la nature, tandis qu'ils construisaient des engins capables de s'élever des kilomètres au-dessus de la surface de leur monde. A l'aide des quelques Fils d'Aër qui composaient mon groupe, je mis en place une zone de tourmente dans laquelle les vents se déchaînaient et la foudre claquaient sans répit. L'environnement y était d'une telle violence que tous leurs appareils traversant cette zone se retrouvaient immanquablement détruits. Chacune des quatre filiations, approuvant cette initiative, la reproduisit dans son domaine. Cependant, malgré l'alliance des pouvoirs de plusieurs d'entre nous, nous étions incapables d'étendre ces zones au-delà de quelques centaines de kilomètres du fait des dommages qu'avait subis la Nature. La folie et l'irrespect des hommes nous avaient affaiblis au-delà de tout ce que nous aurions pu imaginer.
Bientôt, presque tous les demi-dieux, même les anciens Oisifs, se rallièrent à nous. Il était cependant trop tard, et leur puissance magique n'aurait pu nous aider. Nous ne pouvions à ce moment ne lancer guère plus que quelques éclairs et dresser quelques vaguelettes contre eux. Le dernier recours que nous avions était la force physique. Nous étions immortels, aussi aucun de nous n'hésita longtemps à se jeter dans la bataille.
Les êtres de Feu et de Terre attaquèrent de front les postes importants de commandement, menés à la bataille par Aslan l'Ardent, "Il Ignis Leonis", un fils d'Ignis dans toute sa splendeur, tandis que les demi-dieu de l'Eau s'infiltraient afin de subtiliser et retourner leur technologie contre les hommes. Pendant ce temps, je menais les invocations de l'Air au combat et soutenait l'infanterie divine en neutralisant les points névralgique. Nous opérions des frappes chirurgicales, retournant de nombreuses fois le scalpel dans la plaie. Malheureusement, ils étaient trop nombreux, ayant eux de nombreux millénaires pour proliférer... Nous étions impuissants à les réduire à l'impuissance...

V- Déchéance :

Cela faisait près d'une décennie que la guerre contre les hommes s’était transformée en une guérilla. Plusieurs des nôtres avaient été capturés et étaient maintenus prisonnier par les hommes, incapable de les tuer. Les hommes dominaient toujours la planète et réduisait chaque jour la portion de ce monde encore recouverte de Nature.
Soudain, nous le ressentir tous. Une apparition d'énergie gigantesque, pure comme du cristal et puissante comme une multitude de soleil. Ceux d'entre nous qui le pouvaient s'élevèrent, surtout parmi les gardiens. Nous reconnûmes la puissance de nos Pères avec un soulagement incommensurable. Avant qu'un seul de nous ne puisse bouger, chacun put se sentir traversé par Leurs présences. La fraction de seconde qui suivit, tout fut détruit. Les populations humaines furent anéantis, le Monde dévasté réduit à néant.
Les Dieux restèrent un long moment en cercle, communiquant sur un plan qui nous était, et nous est encore, inaccessible. Puis ils se mirent au travail. Abrutis par leur retour silencieux et tout en puissance, nous fûmes incapables de dire le moindre mot, plongés dans l'observation. Sous nos yeux, ils reconstruisirent une île entière, à la particularité près qu'elle possédait chacun des divers écosystèmes existants. Le reste de ce monde fut entièrement recouvert d'eau. Une fois ceci fait, chacun de nos Pères parti dans un coin de l'île dont l'environnement ressemblait fort à leur Élément. Chacun dressa à cet endroit un magnifique édifice. Celui de mon Créateur, juché au sommet des plus hautes montagnes, était constitué de hautes flèches élancées, tout en finesse et en courbes souples. Lorsqu'il eut finit, j'admirais son œuvre jusqu'au moment où nous fûmes tous convoqués. Nous nous précipitâmes au-devant de nos géniteurs et attendîmes, curieux. Alors, une fois que nous fûmes tous regroupés, ils posèrent leur regard sur nous, et aussitôt nous comprîmes.

Cette île, Arcane, ne serait pas un nouveau départ, elle serait notre prison, et ce pour l'éternité.

Aussitôt la panique s'empara des plus impulsifs d'entre nous, tandis que les plus lents étaient pétrifiés, incapables de se mouvoir. Chacun de nous savait instinctivement pourquoi nous allions être punis, mais certains d'entre nous pensaient ne pas mériter cette punition. Nous, les Gardiens, le savions. Nous étions intimement persuadé de n'avoir rien fait qui mérita un quelconque châtiment. Nous restâmes stoïques échangeant des regards inquiets. Les premiers à être internés furent ceux qui tentèrent de fuir. Puis les Dieux enfermèrent tour à tour chacun de leur fils, jusqu'à ce qu'il ne reste plus que nous 8, face à eux. Les Gardiens face aux Dieux. Nous n'eûmes pas le temps de nous expliquer que nous nous retrouvâmes face à nos Pères respectifs. Ne nous laissant pas le temps de monter une défense ou une explication, Aër prit la parole, joignant à ses paroles acides un regard empreint d'une déception et d'un mépris incommensurables, nous communiquant par ces yeux brûlant l'ampleur du dégoût que nous lui inspirions. Sans un geste, sans un bruit, il disparut de mon champ de vision.

Et nous fûmes ainsi jetés dans nos cellules, chacune occupant le sommet de l'une des deux plus hautes tours du temps de l'Air.


    ● Hors Jeu

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Aventure #2 écrite Sam 26 Oct 2013, 10:04
Je te valide !

BON JEU
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