Nom: De Bréal Prénom: Valer, juste Valer Sexe: Masculin Age: 37 ans Endurance: 11 de base Métier: Chasseur, mercenaire, là où il y a de l'argent Signes particuliers: - Des cicatrices, beaucoup de cicatrices - Les cheveux blancs
Caractère
ℬien trop peu de personnes connaissent mon Valerio comme je le connais et sans fausse modestie, je crois bien être la seule à savoir qui il est réellement. En apparence, il n'est pas homme avec qui l'on voudrait passer du temps sans se sentir mal à l'aise. Moi même je fus désarmée à notre rencontre. Le temps et son histoire l'ont rendu d'autant plus terne que lorsque nous étions ensemble. Il se veut froid, sévère, presque bourru et peu engageant à première vue. Peut-être à cause de son regard plein de colère et de haine, de dédain parfois, ou peut-être à cause de son apparence un peu brute. Mais ne vous y trompez pas, bien que cette facette soit des plus utiles à son train de vie, en vérité, cet homme est la personne la plus belle qu'il m’ait été donné de rencontrer. Sa carapace est solide, bien plus solide qu'elle ne l'était autrefois. Mais il gagne à être connu. Il a été avec moi des plus aimants, affectueux et tendres. Surtout très protecteur. Il l'est sans doute de manière compulsive en réalité. Depuis ses mésaventures, on peut dire que sa plus grande crainte est et restera de perdre les proches qui lui sont cher. Cela rend son cœur d'autant plus inaccessible tant il cherche à le protéger, lui aussi. Il faisait souvent des cauchemars qui le réveillaient en sursaut au milieu de la nuit, je crois qu'ils mettaient en scène sa mère. Ils le rendaient fiévreux, impossible à calmer ou de contenir cette chose qui ressemblait à une peur du passé. J'espère qu'avec le temps, ses terreurs nocturnes se seront détournée de lui. Les cris de détresse d'une femme lui poignardent toujours le cœur et l'âme. Enfin... quoi de plus normal. Il est aussi d'une grande expérience et sachant se montrer sage, curieux et observateur. Je passais mon temps à boire ses paroles me décrivant le monde d'un point de vue si vaste et ouvert. La seule chose sur laquelle on ne pouvait guère discuter était sûrement les Dieux, il n'en avait que faire, où n'avait pas d'opinion à leur propos. Seuls leurs enfants étaient dignes d'intérêt à ses yeux. Il reste aussi et surtout un homme, portant les défauts que l'on peut leur accorder. Il aime les femmes, comme tout à chacun, il les adore même, mais n'en abusera jamais. Je le percevais comme quelqu'un de très sincère, aujourd'hui je ne sais plus vraiment et sans doute que lui non plus. Il est un fin gourmet, il apprécie la bonne nourriture et aime aussi assez l'alcool. L'ivresse le rendait souvent amusant d'ailleurs et exagérait son côté téméraire parfois. Mais à vrai dire, avec ou sans alcool, les altercations à la taverne le connaissent bien. Sans doute a-t-il toujours eu un goût prononcé pour la bagarre. Enfin, le combat. Il était d'ailleurs très assidu avec son maître d'arme et l'observer s’entraîner m'émerveillait toujours. Il est vrai qu'à l'avoir à mes côtés, je me sentais toujours protégée et en sécurité. D'un autre côté, il est aussi très attiré par l'argent et ira là où il y en a le plus. Mais cette facette cupide ne m'a jamais dérangé car elle n'est jamais démesurée, simplement réfléchie à mon sens. Il aime les belles choses, comme il aime les belles femmes et la bonne cuisine. C'est un épicurien de la vie, mon Valerio. Enfin, ça fait si longtemps qu'on s'est quitté, j'espère que ses démons n'ont pas totalement ensevelis son cœur.
Par Aurore de Bréal Mervault.
Physique
ℭ'était un vrai bon petit ce Valer. Je m'en suis occupé dès ses sept ans à la demande du Seigneur de Bréal et je l'ai vu grandir pendant ces dix sept années. Il était très assidu à l’entraînement, ça l'a fait devenir un homme, un vrai, et joli garçon en plus de ça, un visage bien dessiné, anguleux et masculin. Valer était déjà trapu en fait et le soin qu'il prenait à sculpter son corps ne l'a fait devenir que plus robuste et imposant. Oh, ce beau jeune homme avait même fini par me dépasser avec les années, sans l'avoir mesuré, je crois qu'il atteignait facilement les un mètre quatre vingt-cinq, quatre vingt dix. Quand je l'ai connu tout jeune, ses cheveux étaient d'un blond cendré très clair et ils ne se sont pas tant foncés que ça avec le temps. Il a toujours préféré les avoir un peu long, ça faisait son charme auprès des jeune filles de son âge. Il les attachait souvent pour dégager son visage. Plus tard, comme son père, il garda sa barbe au départ naissante, puis un peu plus dense, mais toujours très bien entretenue évidemment. Mais à vrai dire, ce qui m'a le plus interpellé à notre première rencontre, ce sont ses yeux. Ils sont ocres je crois et sous la lumière du soleil, ils paraissent presque dorés et brillants. C'était toujours très intense lorsqu'il vous regardait dans les yeux, en plus de ça, ils étaient très expressifs. Ça fait treize années que je ne l'ai plus revu ce petit, il a dû certainement prendre de l'âge, un peu de rides aussi, sa peau doit être un peu plus terne. Oh je ne m'inquiète pas, un visage plus mâture, ça ne doit pas le rendre moins charmant au contraire ! Ahah ! Enfin, je crois surtout que les aléas de sa vie et l'anxiété que ça a pu créer chez lui, lui ont fait des cheveux blancs. Vraiment, au sens propre comme au figuré d'ailleurs ! Oh et puis, il a du quitter sa vie bien rangée aussi, ça ne m'étonnerait pas qu'il soit devenu encore plus bagarreur et vagabond. Voir beaucoup plus. Il doit sûrement avoir des cicatrices un peu partout, il en avait déjà quelques unes avant. Mais aujourd'hui, il ne doit plus les distinguer les unes des autres. Tout pour plaire ce petit... Vieux ?
Par Jeor Mormont.
Famille
Histoire
ℳon histoire ? Et bien, elle n'est pas très joyeuse. Vous allez comprendre. Je suis né au sein de la famille de Bréal, un grand nom pour une grande famille. Mon père, Cassius de Bréal était un homme connu pour être droit, intègre, fort, fier et d'une main de fer. C'était à peu près ça oui. Ma mère, Ludmille de Aubois était elle une femme charmante, d'une grande gentillesse, discrète voire même un peu effacée. Elle était surtout d'une grande beauté qui en faisait pâlir des dizaines. Mon père était bien tombé pour un mariage arrangé, ça c'était sûr. Ils se sont marié aux alentours des vingts ans et ont vécu paisiblement. Aux yeux de tous, ils étaient un merveilleux couple, complémentaire et harmonieux. Ils n'ont d'ailleurs pas perdu de temps pour faire perdurer la famille de Bréal, ma mère tomba enceinte l'année suivant leur mariage, d'un garçon qui ferait un bon hériter et le bonheur de son père. Je suis à ce jour toujours fils unique, mais c'était après tout bien suffisant pour conserver intact le nom d'une famille. Mon enfance, comme tout le monde, je ne m'en souviens pas trop. J'ai de vagues souvenirs de bons moments passés en famille évidemment, mais rien de concret. Non, je considère que ma vie à réellement commencée à mes sept ans. Pour mon anniversaire cette année là, j'ai eu droit à un maître d'arme, Jeor Mormont, qui était avant cela le garde de mon père. Je le connaissais, mais de loin, finalement à partir de mes sept ans, je peux dire que je l'ai côtoyé quasiment tous les jours. C'était un bon maître, un très bon même. Il était sans conteste un talentueux guerrier et fin pédagogue qui plus est. Sévère mais juste, il avait toute ma confiance et mon respect. Je suis même très fier d'avoir été instruit par cet homme qui a eu une grande place dans ma vie. J'étais un enfant assidu et je crois pouvoir dire qu'il se plaisait à m'enseigner l'art du combat, en tous cas suffisamment pour me transmettre son goût prononcé pour ce dernier. J'adorais vraiment ça, j'adore toujours d'ailleurs. Ça a quelque chose d’exaltant, de jouissif même. Enfin, c'était les beaux jours.
Cette période de ma vie est quelque peu ternie par des souvenirs, cette fois-ci bien plus nets et concrets. Mes parents se disputaient énormément. Enfin, c'était d'ailleurs plutôt mon père qui gueulait sur ma mère qui elle, ne disait pas grand chose. Je vous ai dis qu'elle était gentille et discrète. En fait, elle était bien plus que cela. Elle se laissait faire, se taisait et acceptait sans broncher. J'aime ma mère, mais si j'avais pu lui en foutre quelques unes pour la réveiller ça ne m'aurait pas déplu. Souriante en société, elle était éteinte en famille, toujours belle, mais tellement vide et sans saveur. Du haut de mon jeune âge, j'avais juste envie de la bousculer, mais son comportement m'exaspérait plus qu'autre chose et je préférais m'enfermer dans l’entraînement pour ne pas penser à tout cela. Plus je m'éloignais du cocon familiale, plus je me sentais soulagé, c'était normal. Mais à vrai dire, les choses étaient bien plus grave que je ne pensais. Un soir très tard alors que j'étais encore dans la cour à m’entraîner à l'épée, j'ai aperçu mon père rentrer de je ne sais où en titubant. Je me suis rapproché en croyant qu'il était mal en point, mais bien vite en l'entendant marmonner seul, je compris qu'il était saoul, très saoul visiblement. Je l'ai suivis de loin pour m'assurer que tout allait bien, il est monté dans sa chambre et moi, stoppé net en bas de ce grand escalier, j'écoutais cette scène au loin qui me paraissait irréelle. Impuissant et immobilisé par la peur, la crainte et l'incompréhension de mon jeune âge, je ne pouvais qu'entendre mon père en colère, virulent et vulgaire, les cris de ma mère, d'abords de peine et de tristesse, puis de peur et de souffrance. J'entendais même les mains de son mari s'abattre avec violence sur elle, ces coups que j'avais compté ce jour là. Elle était sans doute aussi impuissante que moi et je compris à cet instant que le vide dans son cœur et son âme ne datait pas d'hier et était le résultat de ces violences conjugales, vraiment outrageusement violentes. Je ne pouvais ni intervenir, ni fuir, obligé d'écouter cette chose infâme que j'imaginais presque en détail.
Après ça, j'ai eu l'impression de retrouver la vue, j'avais enfin conscience de ce qu'il se passait entre mes parents, je les avais tellement fuis que je ne m'en étais jamais rendu compte. Ces violences étaient omniprésentes, qu'ils soient saoul ou non d'ailleurs, mais les pires étaient évidemment quand il rentrait de la taverne. J'ai eu quelques fois l'audace d'essayer de m'opposer à lui, mais je me retrouvais finalement comme ma mère, impuissant et recevant des coups. Il était au moins consciencieux, il ne frappait jamais au visage pour ne pas laisser de traces trop visibles, évidemment. Plus le temps passait et plus il redoublait d'originalité, ne se satisfaisant plus de la simple trace de ses mains et passait à d'autres... "outils". Je ne savais plus quoi faire, je ne faisais rien et me renfermais à nouveau dans mes entraînements quotidiens et bien plus intenses. A cet époque, Jeor fut d'un soutien sans égal, sans jamais me le dire, je crois qu'il était au courant de ce qu'il se passait pour moi, mais aussi pour ma mère. Il a été bien plus un père que ne l'aura jamais été le mien. Sa situation ne lui permettait pas non plus d'intervenir, au risque sûrement d'y perdre la vie et bien que brave aurait été son sacrifice, ça n'aurait pas changé grand chose et les aurait même peut-être empiré. Je ne lui en ai jamais voulu de ne pas s'y opposer, au contraire, j'aurais bien sûr aimé qu'il nous protège ma mère et moi, mais c'était impossible. Plus rien n'allait dans cette famille, je détestais mon père et avait pitié de ma mère, autant que je voulais la protéger. Mais toute cette obscurité un jour s'éclaira.
Comme tout bon noble, une femme me fut promise par un mariage arrangé. J'étais évidemment complètement contre, ne voulant pas suivre les directives de mon père mais ne pouvant pas non plus les fuir. Le jour du mariage, j'avais vingt ans, je la rencontrais. Aurore de Mervault, la plus belle femme qu'il m’ait été donné de voir dans ce monde. J'étais toujours évidemment contre cette idée de mariage mais je ne pouvais pas me débattre éternellement. Cette femme aussi belle que fabuleuse m'a fait tomber amoureux d'elle si facilement et rapidement, mais qui ne l'aurait pas été face à ce bijou ? C'était une très bonne période pour moi, quatre ans d'amour à ses côtés, j'étais profondément heureux avec elle. Elle me connaissait comme personne et je la connaissais mieux que moi même. J'ai vraiment essayé de la préserver, de la protéger de ma famille et de ses problèmes aussi fort que je le pouvais. Au bout de quatre années de vie avec elle, ce fut la consécration, elle attendait un enfant de notre amour. J'étais le plus heureux des futurs pères. Mais la "fatalité" ne semblait pas vouloir me quitter. Bien que je ne crois pas à ce genre de conneries de destin et tout le tralala et bien, je ne sais pas ce que j'ai bien pu faire aux Quatre pour mériter tout ça. C'était un soir d'hiver à son huitième mois de grossesse. Une soirée passée entre nous et mes parents, Aurore et moi étions encore en bas et j'observais mon père quitter la pièce, suivit de ma mère. A cet instant j'ai prié pour la première fois de ma vie, pour qu'il n'arrive rien. Mais personne ne m'a exaucé. On commençait à entendre les voix se forcer, devenir plus fortes et plus stridentes. Plongé dans mon mutisme et mon immobilisme, je n'ai pas remarqué tout de suite qu'Aurore avait quitté la table, mais sa voix m'a fait reprendre conscience. J'arrivais en bas de ces grands escaliers en les entendant, ma mère ne disait plus rien et c'était finalement une querelle qui opposait Aurore à mon père. Mes souvenirs sont très flous, je n'ai que des flashs, des brides de son. Une violente gifle, un corps dévalant les escaliers, Aurore. Elle était au sol, perdant du sang, beaucoup de sang. Un peu fou et désorienté, je la portais chez le médecin sans faire attention à quoi que ce soit d'autre, courant comme si ma vie en dépendait. Je … J'ai attendu, longtemps, trop longtemps. J'ai cogité, remué mes pensées, étouffé ma colère mais finalement, le médecin revenait vers moi, et pour me dire quoi ? Que la chute avait provoqué l'accouchement mais que … Ni Aurore, ni ma fille ne verront plus le jour. C'était une fille, ma fille, Sielle. J'ai demandé à les voir, les ai prises dans mes bras, mes mains étaient pleines de sang et je suis resté là des heures, silencieux jusqu'à ce qu'enfin mon chagrin explose.
Je ne suis pas rentré chez moi pendant des semaines après ça, ne voulant pas croiser mon père au risque de l'étriper sur place. Mais j'étais fou, j'entendais dans les rues ces bruits qui racontaient la mort "accidentelle" d'Aurore de Bréal, d'un malaise elle était tombée dans les escaliers et emporta avec elle sa fille morte née. Un accident mon cul. Je ne pouvais pas faire un pas sans entendre parler de ça. J'étais fou, fou à lier et je n'en pouvais plus. J'étais en colère et plein de haine, je tournais en rond à essayer de me calmer mais ça ne faisait qu'empirer et finalement... Ma folie a pris le dessus et m'a fait faire la chose la plus importante de ma vie. Cassius de Bréal fut assassiné à l'âge de quarante sept ans, dans son sommeil chez lui alors que sa femme et son fils étaient partis voir de la famille. Non, je ne lui ai pas fais le plaisir d'être la dernière personne qu'il verrait avant de mourir. J'ai payé un assassin avec son propre argent, anonymement évidemment, j'ai éloigné ma mère pendant quelques jours et en revenant, tout était fini. Ma mère éclata en sanglots dans mes bras à cette nouvelle, je l'ai faussement réconforté mais j'étais soulagé. J'aurais dû le faire il y a longtemps, pour ma mère. Sans que je ne sache comment, Jeor savait. Peut-être son instinct paternel à mon égard, mais il savait ce que j'avais fais. Et puis il a simplement disparu, sans prévenir qui que ce soit, ni même moi. Des bruits courraient disant que Jeor Mormont était l'amant de Ludmille de Bréal, ou tout du moins qu'il en était secrètement amoureux. Ma mère aurait été trop terrifiée pour avoir un amant, en ce qui concerne l'amour de Jeor à son égard, je ne saurais sans doute jamais la vérité. Tout ce que je savais, c'est que les soupçons et accusations du meurtre de Cassius portaient évidemment sur lui, encore plus du fait qu'il ai fuit sous les traits d'un coupable. Mais je suis le seul à savoir qu'il est innocent et le seul à savoir qu'il a agit ainsi pour me protéger. Je ne l'ai plus revu depuis. J'avais vingt quatre ans.
Ma mère elle, a commencé à perdre l'esprit petit à petit, c'était presque inévitable. Je n'avais pas spécialement à m'en faire, ses domestiques étaient dignes de confiance. Je vais toujours la voir de temps en temps, pour m'assurer qu'elle va bien. Elle m'appelle par le prénom de mon père parfois et perd la notion du temps. Mais elle est en vie et protégée à présent. Moi, j'ai tout simplement changé de vie, chasseur et mercenaire depuis plus de dix années maintenant. Je suis bon dans ce que je fais et peut-être même bon qu'à ça, je suis reconnu et on a presque enfin oublié mon nom. Aujourd'hui et pour tous je suis Valer, rien de plus. Ma nouvelle vie a marqué mon corps par bon nombres de cicatrices qui se mêlent à celles de ma jeunesse. Je ne les distinguent plus les unes des autres et c'est mieux comme ça. Il n'y pas grand chose à raconter de plus, je voyage, je me bats, je tue, contre de l'argent et le plus possible évidemment. Presque blasé par tout ça, par la vie elle même. Je dois seulement souvent raconter qu'un jour dans les Montagnes de Zan, un Griffin m'a fait cette cicatrice au visage. De temps en temps c'est un Croc-Rouge pour les Dames. Je n'ai aimé personne d'autre après Aurore et ça ne changera surement jamais jusqu'à ma mort. Mais bon, je reste un homme, avec des besoins et des envies et je ne m'en cache pas. J'ai pourtant l'impression de ne plus être le même et à la fois tellement ... moi. Enfin, je vous ai dis que mon histoire n'était pas très joyeuse.
Par Valerio de Bréal.
équipement
L'armure de Valer est un assemblage de cuir et de maille. Le cuir est, sur la majorité du corps, assez fin pour permettre une bonne aisance dans les mouvements, il est légèrement renforcé au niveau des genoux et significativement plus épais et robuste sur le haut du buste et les parties intimes (oui oui). Les épaules et l'abdomen sont eux renforcés par la maille. (octroie un bonus +3 en endurance)
Son épée se porte à deux mains et est à double tranchant, elle est plus longue et lourde que la plupart mais n'est pas pour autant une claymore bien trop peu maniable. Nommée Vole-coeur, elle dispose des caractéristique suivantes :
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Dernière édition par Valer le Sam 11 Juin 2016, 19:41, édité 7 fois
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Rang : Simple membre Crédit Avatar : Chaos-Draco Date d'inscription : 23/08/2013 Messages : 407Double Compte : Cheshire Liens vers la fiche : Winglece Elément : Invocateur : // Inventaire : De la glace... T.T Sorts :
Rang : Simple membre Crédit Avatar : Chaos-Draco Date d'inscription : 23/08/2013 Messages : 407Double Compte : Cheshire Liens vers la fiche : Winglece Elément : Invocateur : // Inventaire : De la glace... T.T Sorts :
Rien à redire sur ta fiche à part quelques petites fautes par ci par la ( qu'il serait quand même bon de corriger ). La fiche est complète et contient les éléments demandés.
Du coup, je t'offre ta première validation, il ne te restera plus qu'à en obtenir une deuxième pour être officiellement validé ♥ !
Voilà chef o> J'ai déblayé les fautes (et en effet il y en avait plus que je ne l'aurait cru). Merci d'être passé sur ma fiche et j'attends avec impatience la validation complète !
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Invok Terre
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Rang : Simple membre Crédit Avatar : Image d'un inconnu mais graphisme par moi o/ Date d'inscription : 18/08/2013 Messages : 2727Double Compte : Eskel Merigold, Capou Liens vers la fiche : Présentation Carnet de bord Répertoire de codages
Arcane horaire Arcane Parodie Elément : Métier : Méchante modo sadike Invocation(s) : Moi même Invocateur : Kris Le PAS Magnifique ♥ Inventaire :
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Rang : Simple membre Crédit Avatar : Image d'un inconnu mais graphisme par moi o/ Date d'inscription : 18/08/2013 Messages : 2727Double Compte : Eskel Merigold, Capou Liens vers la fiche : Présentation Carnet de bord Répertoire de codages
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