I) Identité● Nom: Torn
● Prénom: Arold
● Sexe: Masculin
● Age/date de naissance: 26 ans
● Endurance : 11
II) CaractèreLes Torns sont des loups. Ils sont prêts à tout pour assurer la survie de leur meute. Cette rage de vivre est partagée par chacun des membres de la fratrie, les rendant capable du meilleur, comme du pire. Arold n'échappe pas à cette pugnacité, même si en vérité il préfère souvent prendre la voie du "meilleur". Car l'agneau se cache dans l'antre du loups, et s'il sait montrer des crocs, il peut aussi faire preuve d'une touchante tendresse.
Pour autant, si le grand frère est un ange avec sa famille, il ne montre pas aisément sa douceur aux inconnus. Au contraire, l'adversité lui a enseigné une certaine méfiance, et il sait se montrer cordial, voir même convivial, sans pour autant être intime. Aussi, être son camarade est chose aisée, mais l'avoir comme ami demande un peu plus d'implication. En effet, il ne prend pas l'amitié à la légère, et capable de beaucoup pour ses amis, il est aussi très exigeant envers ceux-ci. Il ne leur demande pas l'impossible, mais couardise et trahison sont des tares qu'il a bien du mal à pardonner.
Le métier de chasseur promet deux choses très importante pour notre héros. L'aventure, et l'argent. La première est ce qui reste de ses rêves d'enfants, et il la recherche d'autant plus maintenant que sa famille est un peu plus autonome. La seconde vient de son passé tortueux, et de sa volonté d'aider cette même famille. Ces deux centres d'intérêts montre bien les deux facettes d'Arold. D'un côté il y a le héros qui aimerait sauver la veuve et l'orphelin, et s'illustrer en combattant des monstres gigantesques. De l'autre il y a le frère responsable et protecteur, prêt à trahir tout ses principes pour aider les siens. Jusqu'à maintenant, ce fut celui qui dirigeait sa vie, mais petit à petit, Arold apprend les vertus de l’égoïsme.
Quand était-il du reste d'Arcane? Notre héros se fiche totalement de la politique mondiale, et franchement, tant qu'il pouvait obtenir du pain chaud et un lit correct, au diable le roi ou les tribus du Nord. Il se contentait d'agir selon ses propres règles, et si cela signifiait souvent aider son prochain, il lui arrivait aussi de prendre un chemin plus sombre si la situation l'exigeait. D'ailleurs, maintenant qu'il n'exerce plus dans la milice, il n'hésite pas à se salir les mains si le jeux en vaut la chandelle.
Comment ça que pense-t'il des Dieux? Comme n'importe quel habitant d'Arcane, il est conscient de l'existence de ces derniers, mais vu leur je-m'en-foutisme quand à notre monde, pourquoi devrait-il s'en inquiéter? Arold est persuadé que les créateurs de cette île on d'autres chats à fouetter que suivre sa misérable vie. Pour ce qui est des invocations par-contre, c'est une autre histoire. Ces êtres mythiques ont l'avantage d'être bien réel, et il doit avoué qu'un demi-dieu en tant que familier serait plutôt pratique pour remplir ses contrats. Néanmoins, bien qu'il soit conscient qu'une fois libérés, les êtres célestes doivent obéissance à leur maître, il ne peut s'empêcher une certaine appréhension devant la puissance qu'ils détiennent. Que se passerait-il si un jour l'esclave brisait ses chaînes?
III) PhysiqueLa vie nous laisse toujours une empreinte, transformant notre corps, bon gré mal gré, en un grimoire de nos expériences. Arold n'était pas spécialement né pour combattre. Du haut de son mètre soixante quinze, il avait une taille moyenne, accompagnée d'une carrure plutôt fluette pour un soldat. Comme le prouvait ses soixante dix kilos, il ne manquait pas de muscles, mais disons que sa morphologie ectomorphe le rapprochait plus d'un guépard que d'un tigre. Pourtant, une éducation militaire et une vie de labeur avaient forgé son corps, forçant ce dernier à prendre de l'épaisseur. Avec celle-ci venait également des cicatrices de bataille, et une allure quelque peu voûtée lui donnant des airs de loups solitaire.
Autant son corps souffrait de quelques lames inopportunes, son visage semblait épargné par l'adversité. Seule une fine coupure trônait sur l'arrête de son nez, réminiscence d'une chute au combien minable. Les traits de notre jeune héros étaient plutôt fins, et voir même juvéniles, si ce n'était pour son imposante pilosité. Barbes et sourcils envahissant sans partage sa peau, tandis que ses cheveux d'ébènes finissaient d'assombrir son visage. Il était un peu comme une statue de marbre érodée par le temps. Arold n'avait pas la grâce et l'élégance que promettaient son nez fin et son sourire d'ange, mais il gagnait en échange le charme rocailleux de l'aventurier.
Ce n'était d'ailleurs pas la seule chose qui rappelait son étonnant choix de carrière. Une cape de voyage l'accompagnait en toute situation, tant est que le noir était teinté de boue et autres aléas de la route. Sous celle-ci, un savant mélange de cuir et de tissu lui servait de vêtements. Rien de bien particulier, sinon peut-être le choix des couleurs qui vacillaient toujours entre le noir et le brun. Une épaulière métallique protégeait son côté droit, et une plaque de métal couvrait son buste. Arold n'avait pour l'instant pas les moyens de se payer une armure descente, aussi composait-il avec ce mélange intriguant, sacrifiant le beau pour l'efficace.
Oui, son allure n'était pas celle d'un chevalier, et encore moins d'un héros.Pour tout dire, il avait un peu la dégaine d'un brigand, bien que, paradoxalement, il traînait un sorte d'élégance naturelle. Celle-ci ne provenait sûrement pas de son éducation, ou de quelques fioritures de langage. Une sorte de dignité irradiait de son être, lui donnant, malgré son masque de rustre, des airs de grandeur.
IV) Vie● Famille:
Arthur Torn, Mort :
Officiellement, cet enfoiré est mort en dévalant la tête la première un escalier, après une cuite un peu trop soutenue. Autrefois Brigadier chef au sein de la Milice de Lüh, il reste pour les habitants de celle-ci un homme respectable, qui a mal vécu de devoir rendre les armes.
Avant sa déchéance, Arold considérait son père comme un héros. Il l'aimait particulièrement, et il fut sans doute celui qui souffrit le plus de sa déliquescence.
Hélène Torn, 50 ans :
Veuve ayant eut particulièrement de mal à faire son deuil, la mère de notre héros a pu toutefois compter sur le soutien de ses enfants. Grâce à eux, elle reprend petit à petit goût à la vie. D'un caractère réservé, elle se sent énormément redevable envers sa progéniture, et fait tout son possible pour les aidés. Elle s'occupe de la cuisine au sein de l'auberge familiale.
Bien qu'elle comprenne sa décision, Hélène n'apprécie guère que son fils se frotte à la faune de l'île. Elle ne dira jamais rien pour le décourager, mais elle aimerait secrètement qu'il abandonne cette lubie, et vienne aider sa sœur à faire tourner le commerce familiale.
Alice Torn, 25 ans :
Petite sœur d'Arold, elle fut néanmoins celle qui prit tout en charge à la mort de leur père. Sa force de caractère est sans doute ce qui empêcha aux Torns de couler. Elle est très autoritaire avec tout le monde, et étrangement, notre héros n'a jamais désobéi un de ses ordres. Bien qu'ils ne se l'avouent que rarement, une grande complicité les noue l'un à l'autre. Elle est celle qui l'encourage le plus à poursuivre ses rêves, et également celle qui l'engueule quand il revient au bercail avec la moindre égratignure.
Henry Torn, 14 ans :
Avant dernier de la fratrie, Henry fut protégé du naufrage émotionnelle par la bienveillance de ses aînés. Il a longtemps été très distant avec sa mère, attribuant longtemps la figure maternelle à sa grande sœur. Ce n'est que récemment qu'il commence à comprendre la situation, et renoue peu à peu les liens avec sa génitrice.
Conscient du sacrifice effectué par Alice et Arold, il fait de son mieux pour les aider. Il n'est pas particulièrement brillant, mais il a le mérite de ne pas avoir peur de se salir les mains. De plus, il semble assez populaire au sein des jeunes de son âge, et Alice pense que ce charisme naissant lui sera bien utile plus tard.
Amélia Torn, 9 ans :
Trop petite pour comprendre quoique ce soit de leur situation familiale, la jeune Amélia considère Alice et Arold comme ses parents. Certes, elle sait qu'ils sont de la même fratrie, mais ils sont ceux qui l'ont élevés, nourris, et aimés. Elle n'a que peu souffert de la perte de son père, et bien qu'elle n'est aucune animosité envers sa mère, elle la traite encore comme une amie de la famille, mais non comme un parent.
Pour autant, Hélène ne désespère qu'un jour, sa fille l'appelle maman. Amélia considère Arold comme un véritable héros, et il n'est pas rare de voir les voir s'amuser à pourchasser quelques monstres imaginaires. Plus tard, elle espère pouvoir chasser les monstres en compagnie de son grand frère.
● Histoire:
Arold Torn, vous n'aviez sans doute jamais entendu parler de ce nom. Ce n'est pas l'envie qui lui manquait, mais le destin ne lui avait pas donné l'occasion de briller aux yeux du monde, bien qu'il put néanmoins prouver sa valeur. Car si certain devait affronter les aléas du monde, lui dut vaincre les remous d'un foyer tumultueux.
Notre héros vint au monde dans la somptueuse Lüh. Son père, Arthur, était un membre honorable de la Milice. Brigadier chef, il était respecté par le peuple pour son sens de la justice. Sa femme, Hélène, gérait une petite taverne qui prenait place au rez de chaussé de leur demeure. Le couple vivait une vie modeste mais heureuse, et il ne fallut que peu de temps pour qu'il se décide à avoir un fils. Arold était l'enfant de l'amour, et rapidement, d'autres membres vinrent compléter la tribu.
On peut dire qu'il eut une enfance plutôt paisible. Les Torns n'eurent jamais l'abondance du superflu, mais ils ne manquèrent jamais du nécessaire. Ils eurent une éducation plutôt basique, ayant même la chance de profiter de l'enseignement d'une école populaire. Ainsi, malgré la pauvreté de leur quartier, ils pouvaient compter sur la bienveillance de leurs voisins pour éviter les désagréments des milieux pauvres.
Le destin semblait avoir béni cette famille. Hélas, la bonne fortune était un vent capricieux, et il ne tarda pas à tourner. Pour bien comprendre l'ampleur de cette chute, il vous faut savoir l'admiration que portait le fils pour son père. Arold considérait ni plus ni moins son géniteur comme un héros, et c'était par amour pour ce dernier qu'il s’entraînait si dur au maniement des armes. Il deviendrait lui aussi un défenseur de la veuve et de l'orphelin, et peut-être même qu'un jour, il surpassera son père, et intégrera la Garde doré.
Beau rêve, qui prit néanmoins fin le jour ou son père fut blessé au combat. On raconte qu'il avait sauvé un camarade de la charge d'un raparius lors d'une patrouille aux abords de la rivière blanche. Personne ne s'accordait sur les circonstances exactes de l'accident, mais le fait était là. Ayant perdu sa jambe gauche, couvert de nombreuses blessures, le patriarche des Torn n'était plus apte au métier de Milicien. Au départ, personne ne comprit réellement le tourment de l'ancien brigadier. Au contraire, sa bonne humeur illuminait la taverne, et même s'il n'aidait pas beaucoup, son engouement attirait de nombreux clients. Malgré qu'il ne fut qu'adolescent, Arold trouva un travail dans la milice, même s'il ne s'agissait que faire des cafés et de nettoyer un commissariat. Tous s'adaptèrent à cette nouvelle vie, si bien que malgré la baisse de revenue, la famille ne sombra pas tout de suite.
Cependant, le temps et l'alcool érodèrent petit à petit le pilier de cette union. Passer de héros du village à gars sympa du bar n'était point une tache aisée, d'autant plus pour Arthur, dont des années de succès avait gonflé l’ego. L'alcool était un très bon moyen pour vivre au dessous de son potentiel, mais l'habitude devint aisément une addiction, emportant avec elle l'homme qui l'avait adoptée. Le fier milicien s’effritait petit à petit, sous le regard impuissant de sa famille. Cela commença par de petites choses anodines. Une virée nocturne, une bagarre de soûlards, on pouvait tout pardonner à un homme de cette trempe. Mais lorsque vinrent les accès de colère, et que le patriarche commença ) puiser dans les maigres économies familiales pour satisfaire ses propres plaisirs, il devint clair que le héros avait définitivement disparu.
Que pouvaient-ils bien faire? La matriarche était bien trop dépitée pour réagir, d'autant qu'elle devait redoubler de travail afin de renflouer les caisses. Arold était parvenu à intégrer la milice, et il acceptait toute sorte de jobs afin de ramener de l'argent. Alice fut la première à prendre les choses en mains. Elle écartait tant que possible son père des deux derniers, et elle fut celle qui eut l'idée de transformer la taverne en une auberge, afin d'augmenter leur revenu. Chacun luttait à sa façon pour empêcher le navire de couler, mais nuls ne put empêcher l'inévitable. Le héros se laissait de plus en plus envahir par les démons de l'alcool, et pour chaque parcelle de bonté dont il faisait encore preuve, dix actes abjectes arrivaient en retour.
Cette mascarade dura cinq ans, cinq longues années où se parasite entraînait les siens dans le sépulcre. La dépression avait transformée la souriante Hélène en un mur de silence, tandis que bon gré mal gré, les deux aînés tentaient tant bien que mal de protéger le reste de la fratrie de ce désastre. Pourquoi continuait-il de soutenir cet ivrogne auto-destructeur? L'aimaient-ils encore après l'enfer qu'il avait emmené dans leur quotidien? Nul ne le sait, mais si un quelconque amour subsista, celui-ci parti en lambeau le jour où Arthur franchit la ligne entre l'alcoolique battu par la vie, et une simple ordure.
Arold se souvint encore parfaitement de cette soirée. Il avait été réveillé au milieu de la nuit par les bruits d'une dispute, et l'épée en main, il s'apprêtait déjà à repousser quelques cambrioleurs. Quelle surprise lorsqu'il trouva son père au prise avec sa sœur adorée. Celle-ci se débattait comme une lionne, les marques de coups qu'elle portait témoignant de sa lutte désespérée. Pourtant, l'homme prenait peu à peu l’avantage, tentant de... Il n'en fallut pas plus pour que l’aîné décide d'intervenir. Nul ne sait comment fini cette nuit, mais quand la milice vint s'occuper du cadavre au bon matin, Arold et Amélia s'accordait pour dire que le pauvre homme s'était fracassé le crâne dans les escaliers. Tout le monde connaissait les cuites légendaires d'Arthur, et personne ne tenta d'en savoir plus. Pourtant, lorsque la jeune femme se réfugia en pleurant dans les bras de son frère, le -merci- qu'elle lui souffla à l'oreille était lourd de sens.
Voila, ceci fut la grande tragédie de sa vie, et croyez le ou non, elle expliquait une bonne partie de ce qu'il était désormais. Évidemment, la situation ne s'arrangea pas magiquement après cet incident. Hélène resta encore des années dans son mutisme affable, mais Arold et Alice recollèrent peu à peu ce qui restait de leur foyer. Beaucoup de péripéties traversèrent cet époque. Il y eut de redoutables amourettes, des moments où ils durent brûler des meubles pour se chauffer en hiver, mais rien que cette famille forgée par l'adversité ne pouvait surmonter.
Une d'entre elle sortait toutefois du lot. Les rues de la capitale regorgeait de toutes sortes d'étrangetés, et en tant que milicien, notre héros en vu une bonne partie. Même les demi-dieux ne lui étaient pas inconnus, mais jamais il n'en vit un d'aussi proche que lors de ce fameux cambriolage. Cette enquête somme toute banale avait tourné au massacre, tout cela à cause d'une seule entité. Un fils d'Ignis était sous le joug d'un criminel, et sa puissance balaya un régiment comme le vent souffle les feuilles. Arold avait évidemment survécu à cette rencontre mythique, mais non sans imprimer en lui la puissance de ces créatures mythiques. Une admiration teintée de crainte s'était imprimée en lui, alors qu'il réalisait l'impuissance des hommes si ces "esclaves" brisaient leurs chaînes.
L'édification de Rorn, dans les terres du Nord, créa un véritable besoin de soldats. Beaucoup de miliciens furent "conviés" à se rendre dans cette nouvelle citée. Cependant Arold n'était plus le jeune homme cherchant désespérément à aider les siens. Sa mère s'était remise de sa dépression, l'auberge familiale fonctionnait suffisamment bien pour les maintenir tous propres et en bonne santé. Bref, après avoir sacrifié sa jeunesse pour aider les siens, il était temps qu'il pense à son propre avenir. Or que souhaitait-il? Il pouvait assurément faire carrière dans la milice, nul doute que Rorn offrirait son lot d'opportunités. Seulement nul besoin d'expliquer pourquoi il ne souhaitait pas suivre les traces de son père. Il restait encore son rêve de devenir Garde d'or, mais là aussi, vous comprendrez que sa motivation s'était quelque peu émoussée. Pourtant, il souhaitait toujours découvrir le monde, et bien que malmené par l'adversité, un enfant rêvant d’héroïsme vivait toujours au fond de lui.
Ses questions sur l'avenir trouvèrent une réponse inattendue. Alors qu'il tuait le temps avec quelques amis dans une taverne, un parchemin s'écrasa littéralement sur sa figure. Alors qu'il s'apprêtait à jeter ce papier comme n'importe quel insecte gênant, ses yeux tombèrent actuellement sur son contenu. Une chasse... La chose ne lui était pas étrangère, cette activité étant même plutôt commune au sein de Lüh. Pourtant ce jour ci il la considéra d'un œil bien plus attentif. Chasseur de monstre? Pourquoi pas hein? Il ne savait pas dans quoi il s'engageait, ni même si était effectivement capable d'affronter la faune d'Arcane, mais l'enfant en mal d'aventures qui sommeillait en lui venait enfin de trouver un exutoire.
Arold Torn, chasseur de monstre, ça sonnait plutôt bien non?
V) Autres●
Métier: Chasseur
●
Signes particuliers: Il aime bien tatouer son visage avec du sang. Hormis ceci... rien de particulier.
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Rêve, ambition: Il aimerait bien devenir Chasseur doré afin d'aider un peu plus sa famille. Une invocation pour cela ne serait pas de trop.
●
Arme : Aussi cool que peuvent sembler les épées, elles restent des instruments désignés à affronter des hommes, non des monstres. Arold se sent donc bien plus à l'aise derrière une lance. La sienne fait au total près de deux mètres, possédant une lame bien plus longue que la moyenne à son extrémité. L'arme est plutôt équilibré (Tranchant : 3 /Résistance : 3 / Maniabilité : 2).
- Spoiler:
VI) Hors Jeu● Comment avez vous découvert ce forum? Top Site
● Comment trouvez vous l'intrigue de ce forum? Le concept de partenariat entre joueurs (invocations, invocateurs) est très intéressant. Je suis curieux de voir où cela mène.
● Comment trouvez vous le design de ce forum? Sympa
● Avez vous lu le règlement? [ Validé par la Reine ]
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