[Terminé] Soren Aldwyn - La mort est en avance sur la fin de mon histoire.

24/11/2022

Un tyran peut opprimer éternellement ses souffre-douleur, tant qu'il leur laisse miroiter la possibilité de survivre ; mais s'il abolit toute espérances, il fait aussi céder les dernières barrières qui retiennent ses victimes de se jeter dans un acte désespéré.
Qui êtes vous ? Nom: Aldwyn (alias), de Val. Prénom: Variablement Soren/Soran. Sexe: Mâle. Age/date de naissance: 25 ans, né le vingt et unième jour d'Ignis en l'an 34. Endurance: 10
Votre Mental Il n'y avait pas à attirer le désir. Il était dans celle qui le provoquait ou il n'existait pas. Il était déjà là dès le premier regard ou bien il n'avait jamais existé. Il était l'intelligence immédiate du rapport sensuel ou bien il n'était rien. Soren possède un tempérament dominateur, profondément manipulateur, il est capable sans difficulté de se faire passer pour ce qu’il n’est pas. C’est un fin séducteur qui arrive sans difficulté à obtenir tout ce qu’il veut et encore plus spécialement auprès des personnes naïves. Il est particulièrement contrôlant avec ce qu’il estime être ses pions, exige d’eux une soumission totale et absolue. Pour peu qu’on lui laisse cette possibilité. Il n’hésitera pas à sacrifier sans états d’âme ceux qui portent leur confiance en lui, sans pitié ni compassion. Il n’estime pas que la liberté ou la dignité ont de l'importance pour ceux qui servent ses intérêts et n’hésite pas à en jouer. Méprisant les faibles, les femmes et affichant une xénophobie largement assumée - bien que pour ses intérêts il doit régulièrement commercer avec les peuplades du Nord -. Il n’hésite pas à baigner dans la criminalité la plus crasse si cela lui permet d’obtenir quelque chose, mais il n’est pas stupide et il ne sera pas aisé de le prendre sur le fait. Il n’y a pas grand-chose qui le rebute, il fait le mal avec une facilité déconcertante et sans remords. Néanmoins, il est tout à fait capable de se montrer loyal - par dépit plus que par choix -, face à quelqu’un contre qui il ne peut rien et à condition de ne pas baisser sa garde puisqu’il est tout à fait prompt à la trahison. Il souffre depuis l’enfance d’un profond complexe d’infériorité à l’égard de ses frères, plus forts et plus âgés. Il ne respecte finalement que son père et le futur héritier du titre - bien qu’il serait parfaitement tenté de se débarrasser de lui -. La relation avec sa sœur est bien plus ambiguë déjà de par l'ascendant qu’il exerce sur elle, la privant de contact et de bonheur. Il cache aussi des choses bien plus sombres à son égard. Hédoniste accompli il ne se prive pas des plaisirs de la vie, quitte à jouer avec les victimes de son désir. Bien que cela puisse être étonnant il n'est pas avare en matière de plaisir sensuel. Il voit les invocations comme une arme pour parvenir à ses fins. La religion et les dieux n'ont que peu d'intérêt pour lui, ce sont des outils destinés à manipuler, il fait volontairement semblant de s'y intéresser un minimum, cela plait, mais la foi n'est pas vraiment présente. Il estime néanmoins la punition des demi-dieux juste et méritée. Ses peurs ? En permanence dans le contrôle absolu, le perdre serait une chose terrible, tout ce qui bouscule ses habitudes bien encrées pourraient devenir particulièrement inquiétant pour lui et le pousser à prendre des risques. Ses rêves eux sont bien plus terre à terre, hisser sa famille dans la noblesse qui lui ait due, chose que ces ancêtres ne semblent pas considérer, quitte à se débarrasser sans pitié de ceux qui gênent ses plans.
Votre physique À ce moment-là, j'avais beau être très fatigué, j'étais également infatigable. Tu connaîtras peut-être cet état, un jour. Je pense qu'il est propre aux courtisans. Ta mère doit le savoir. D’une taille d’environ un mètre quatre-vingt, physique de chat maigre alliant l’agilité, l’endurance et puissance sans masse superficielle. Toute sa vie il a été éduqué au combat, il se débrouille aussi bien à terre avec un style plus proche du spadassin que du noble chevalier qu’il est censé représenter qu’à cheval sur sa solide monture bardée de fer. Il est capable de porter tout aussi bien une armure légère en cuir - sa tenue principale - qu’une lourde armure de joute. Soren est plutôt bel homme et du genre à le savoir, l’un des traits typiques de sa famille : un visage d’ange et des yeux de serpent, les siens d’un brun mordoré en leur centre, capable de distiller toute une palette d'émotions. Une peau pâle, des cheveux très fins, des cheveux courts d’un blond cendré. Sa démarche est confiante et mesurée, en tant que noble il est tout aussi capable de se tenir en société, de maîtriser chaque danse et de faire preuve d’un peu d’élégance. Surtout en tant que courtisan, il sait parfaitement se mettre en valeur.
Ici, une consigne prévalait sur toutes les autres : ne pas se faire prendre.
Votre Histoire L’espèce humaine est parfois la pire des espèces, voilà tout ce qu'il trouvait à lui répondre à cet instant. Né à Svartal, l’un des derniers bastions au nord sous le contrôle du Prince, cinquième fils d’une fratrie de sept enfants. Principalement peuplée par les soldats de la garnison, des chasseurs cherchant un point de chute et les bûcherons exploitant les forêts autour de la forteresse. Enfant mâle, il était tout naturel qu’il devienne un excellent soldat, comme une bonne partie des hommes de la lignée qui remonte à plusieurs siècles. Néanmoins, faire carrière militaire ne l'intéressait pas le moins du monde pas plus que d’entrer au service du Prince, il préférait n’en faire qu’à sa tête, c’était ce qui lui convenait le mieux. Toutefois le garçonnet malingre - ou en tout cas davantage que ses autres frères - montra très tôt un attrait particulier pour le vice et la cruauté. Les enfants du Val avaient le sang chaud et un caractère réputé difficile, on fit l’erreur de mettre cela sur des erreurs de jeunesse, et quelques servantes furent congédiées pour l’occasion. S’en suivit un autre frère - Kaelan - puis au comble du malheur venant briser la suite parfaite de six mâles, une créature bien étrange et sombre - puisque parents comme enfants jusqu’alors étaient d’un blond parfait, sauf la dernière née - cependant la paternité de l’engeance ne fut jamais contestée au vu de l’état d’Élide de Val, leur mère, affaiblie par les grossesses successives et bien trop rapprochées ne sortait plus vraiment de ses appartements. Le doute est enterré aussi vite qu’il apparut. Sa première expérience avec une invocation fut celle de sa mère, qu'il considérait comme faible, mais aussi particulièrement agaçante. La jument aquatique avait la fâcheuse habitude de mettre fin aux rixes des enfants et le tout sans dire un mot et bien que ce n'était une menace pour personne - il la considérait comme faible - nul n'osait broncher. La deuxième erreur fut de lui apprendre à manier les armes, il était sans aucun doute doué dans ce domaine, plus spécifiquement à l’épée bien qu’il maîtrisait à merveille l’arc et la lance. Il ne bagarrait pas dignement, mais de manière perfide et traître, il parvenait ainsi sans difficulté à triompher d’adversaires meilleurs que lui surprenant de par son agressivité. Son activité principale - ou les arts du combat - se résumait à maltraiter ses cadets, chasser avec ceux chargés d’approvisionner la forteresse et il s'avère particulièrement efficace dans cette tâche. Il prenait de l’âge, et on l’enjoignait à prendre une femme - n’importe laquelle - il la trouva sans difficulté dans les peuplades du Nord, bon ce n’était pas un premier choix, mais cela devrait faire l’affaire quelque temps. Un rapt rondement mené. Cela lui rappela la première fois où sa femme le trouvait au lit avec une autre, le scandale, déjà que leur mariage n’avait toujours pas été consommé. Tout de suite les grands mots, tu me trompes, de toute évidence, oui il n’était pas en train de jouer aux cartes… Qu’est-ce qu’elle pouvait être insupportable. Il l’avait prise pour être libre du fardeau du mariage, mais elle était nordienne, et ces femmes n’avaient pas la soumission des nymphes du Sud. Mais cet équilibre précaire fut brisé par un simple événement, l’imbécile heureuse ne trouva rien de mieux qu’un beau jour de conseil, où tous les hommes de la famille ainsi que les gardes étaient occupés à préparer l’hiver. Pour.. Fuguer. Bon avec les monstres et les sauvages peuplant cette partie du monde, elle n’irait jamais bien loin, mais c’était un contretemps regrettable. On fit sonner le cor et les six frères se mirent en route sur leurs montures. Et il ne fut pas surprenant de la trouver aux prises avec les sauvages locaux, son propre cheval piaffait d’impatience, une monture solide faite pour le combat - un des caprices de la famille -. Tous avaient grandi et évolué dans une xénophobie vieille de plusieurs générations, il n’y avait rien d’étonnant à ce qu’ils soient prêts à tirer leurs épées. Néanmoins, la gamine était un problème, il descendit de sa monture pour l’attraper, elle était habituée à la colère de ses frères, mais cette fois-ci il ne se contenta pas d’une remontrance, il lui colla une gifle qui devrait lui remettre les idées en place un certain temps avant de la traîner devant le paternel. Et en guise de remerciement il les envoyait dans le sud, Sintharia avait écoulé son temps dans le nord et lui devait améliorer son art s’il voulait rentrer dans la milice ou la garde dorée comme ses frères aînés. Mais il fut bien plus occupé à profiter des vices de la capitale et de ses femmes, il était un bon séducteur et il n’y avait rien de plus satisfaisant à voir des nymphes tomber dans ses serres, s’y avilir et s’y dégrader avant qu’il ne les jette, lassé. La mort du jeune comte - Saeris du Roncier, fiancé puis époux de sa chère sœur - avait été une scène rare de boucherie, un travail de maître s’il pouvait. Le jour même de leur mariage quelques heures après la cérémonies. Les gens en furent horrifiés longtemps. Personne ne pleurait jamais dans la famille, sauf cette fleur-là, elle aurait pu arroser tout l’été les parterres de fleurs du domaine des Ronces, rien que la première semaine. Il fallait bien cela pour qu’elle se console de son avenir qui ne tenait plus à rien. Il connaissait sa sœur depuis pratiquement toujours, tous l’avaient toujours trouvée magnifique lorsqu’elle était enfant, il fut tenté de lui dire qu’elle était bien plus belle à présent, maintenant qu’elle était dévastée par la douleur de la perte, avec son regard d’amante éplorée, son visage rendu plus fin par l’année de larmes qui venait de s’écouler.. Ils l’avaient gardée captive pour s’assurer que les deux niais n’aient pas fait de secret, un an d’enfermement dans des appartements trop petits pour finalement être laissée à son sort, l’esprit conditionné par les drogues pour ne pas se retrouver avec une suicidée qui n’était pas de leur sang, qui aurait été un nouveau scandale dont les Roncier pouvaient se passer. Il se retrouvait donc tuteur d’une jeune veuve de seize ans déréglée mentalement - pour ne pas dire folle -, et qui n’irait peut-être jamais mieux. Il fallait bien en faire quelque chose, et chez les enfants du Val l’on ne s'encombre pas des inutiles d’autant plus qu’il se retrouvait à chaperonner… Il avait tant ancré en elle l’idée de ce monde hostile, où personne ne l’aimerait davantage que lui, où elle ne manquerait à personne si elle disparaissait dans un bordel sordide. Que ses craintes étaient devenues bien plus importantes que ses désirs, et elle se retrouva cruellement attachée à lui par manque de choix. Et il l’aimait parce qu’il était supérieur à elle et qu’elle était soumise à lui. Soren la traîna sans grande considération dans toutes les mondanités qu’il pouvait, la présentant à autant d’amis qu’il le pouvait et ils s'occupaient de la faire danser et boire souvent jusqu’à l’aube. Les premières fois elle ne fut pas aisée à convaincre, pressant douloureusement ses doigts sur le satin de sa robe, ne serait-ce que pour en tirer un son qui agirait comme déclic. Bien sûr que leur père n’aurait pas approuvé que son unique fille s’avilisse dans ces tenues bien trop légères. Il lui découvrait enfin quelques qualités outre sa beauté, elle savait séduire, trouver les mots qu’il faut et elle aimait indiscutablement ça. Il contacta rapidement une amie de la capitale, Andraste Kavan, ancienne courtisane d’une trentaine d'années, elle règne en maître sur l’empire laissé à la mort de son défunt mari, oh cela avait fait jaser à l’époque et maintenant elle se cherchait une successeuse. Il ne fut pas difficile de convaincre sa sœur que l’idée venait d’elle-même. Le plus difficile fut de convaincre le paternel, mais il n’avait qu’à dicter ses mots et l’affaire fut conclue. L’apprentie était ici, couchée sur le ventre dans son plus simple appareil, le corps en travers du lit, le regard figé, ses joues glacées, souveraine dans son regard, comme une odalisque un jour de victoire. L’émotion était frappante, sombre et une terrible lascivité naturelle. Ne pas se perdre dans ses courbes était une épreuve. Il était coutume de faire un portrait de toutes les nouvelles filles lorsqu'elles entraient en apprentissage, pour leur trouver des mécènes, elles faisaient leur éducation sur ceux ayant payé le prix fort pour cette exclusivité. Il échangèrent longuement, sa voix déjà feutrée, intime et caressante. La rose jaune, dans les plis de sa coiffure, indiquait clairement sa position dans la société, même si nul homme n’avait le droit de la posséder. Certains auraient crié à l’impudicité de ces jeunes femmes qui se vendaient sans s’en rendre compte, offertes nues aux regards. Mais il ne s’agissait là rien de plus que de la création même des dieux dans sa forme d’art la plus pure, il n’y avait aucun mal à désirer la perfection. L’apprentissage dura quelques années et elle était prête à faire son entrée dans le monde, une bonne majorité des nobles de la capitale était au courant du drame, mais la pitié était un avantage pour eux dans ce domaine, même si celle qu’ils ressentaient à son égard était trompeuse, il n’y avait aucun doute qu’ils étaient heureux que le drame n’entache pas leurs familles. Quant à lui, il avait fort à faire à la capitale durant ce temps, à commencer par gérer le second fils du Val, Alaric, qui semblait tout particulièrement déterminé à mettre le nez dans ses affaires. Soit disant il était indécent de faire de Sintharia une courtisane et qu’il en fera une catin avec le temps. Non pas que l’idée ne lui avait jamais effleuré l’esprit, il devait bien répondre à l’insulte. Le milicien gradé vint voir l’innocente quelques fois, tentant de lui faire entendre raison, au début sans grand succès, pas autant stupide qu’il aurait aimé qu’elle soit, les mots étaient des flèches qui finissaient toujours par atteindre leur but. Il n’eut pas le temps de s'embarrasser d’un plan élaboré, il fallait agir rapidement. En général, il ne prévenait pas ses victimes, mais puisqu’il s’agissait d’un frère, il lui laissa plusieurs fois l’occasion de revoir sa copie, sans succès. Sa dague plantée en plein cœur fit le reste. Lui restait hors de tout soupçon, il avait la personne idéale pour lui offrir un alibi parfait. Soren n’avait pu se retenir de rire lorsque cette dernière avait parlé de mort naturelle, puisqu’il était des plus normal de mourir ainsi. Un jour tous finiraient par la croire folle et ne la prendraient plus au sérieux. Le deuxième fils de la famille à mourir dans des circonstances étranges, le premier était mort plus tôt dans la saison, d’un accident de chasse, mais pas sur le coup, une bête lui avait défoncé la cage thoracique et on l’avait ramené moribond à la capitale. Le cadet n’avait aucune chance de survie et nul ne remarqua les détails inquiétants sur son corps dans ce dernier qui était abîmé. Après cela il ne se passa pas grand-chose de plus, il gardait un œil sur les affaires de sa pupille et encaissait la moitié de ses gains. Il la cédait sans difficulté à des mécènes et elle brillait dans son art. Mais il ne devait pas relâcher sa vigilance, il n'était pas difficile de trouver des réponses à ses interrogations quand toutes les domestiques étaient sous ses ordres et qu'il avait libre accès à ses correspondances. Et il y avait dans l'air un je-ne-sais-quoi qui lui déplaisait fortement.
Caractéristiques et Inventaire Métier : Noble, chevalier, courtisan. Signes particuliers : Facultatif Pack de départ : Noble ---Objets de soin--- - Curaga X 1 - 120 points - Essence Miracle X 1 - 250 points ---Objets divers--- - Orbe Fugue x1 - 80 points - Graine maléfique X 1 - 100 points ---Armes--- Stratia, épée droite. Tranchant ● ● ● ● ○ Résistance ● ● ○ ○ ○ Maniabilité ● ● ● ● ○
Hors RP Comment avez vous découvert ce forum ? Y avait de la lumière. Comment trouvez vous l'intrigue de ce forum ? Pas mal, sinon il serait pas là. Comment trouvez vous le design de ce forum ? Toujours aussi bien. Avez vous lu/signé le règlement ? ICI Avez vous vu le Discord ? Oui Savez vous comment voter pour le forum ? Il me semble.

Dernière édition par Soren Aldwyn le Sam 03 Déc 2022, 00:28, édité 11 fois

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27/01/2018

Rebienvenue à toi ! Très cool de jouer le frère et la sœur Yay

Hâte de voir ce que tu vas faire de Soren héhé, il m'a l'air du type que Valion aurait peur de froisser Huhu

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11/05/2017

Hello par ici et rebienvenue parmi nous \o/

Je vais m'atteler à la première correction de la fiche de ce grand frère mesquin Twisted Evil

D'abord, par rapport à son endurance, je lui aurais attribué un total de 10 points. Il n'est pas assez grand pour atteindre les 11 points, et n'a à mon sens pas une musculature assez conséquente pour avoir le point bonus.

Concernant son mental, je n'ai pas grand chose à redire. Il faudrait par contre ajouter son opinion concernant les Dieux.

Pour le Physique tout est ok !

Et pour l'Histoire, il serait bon de faire un petit ajout. Tu parles de "la mort du jeune comte" sans avoir précisé qui il était. Je sais de qui on parle, mais ça serait mieux de préciser ce petit point pour clarifier la chose !

Et il y a une phrase que je n'ai pas saisi : "pour ne pas se retrouver avec une suicidée qui n’était pas de leur sang". C'est de Sintharia dont tu parles ? "Pas de leur sang" me trouble un peu Hum

Pour le reste, de mon point de vue ça me semble ok. Mais vu qu'on a pas mal discuté de l'histoire de Sintharia et de Soren en mp, c'est possible que j'ai clarifié les zones d'ombres de moi-même. Il se peut donc que des éléments à éclaircir me soient échappés ! Nous verrons ça à la deuxième correction :3

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24/11/2022

Lala :hearts: a écrit:: D'abord, par rapport à son endurance, je lui aurais attribué un total de 10 points. Il n'est pas assez grand pour atteindre les 11 points, et n'a à mon sens pas une musculature assez conséquente pour avoir le point bonus.

J'ai baissé à 10.

Lala :hearts: a écrit:: Concernant son mental, je n'ai pas grand chose à redire. Il faudrait par contre ajouter son opinion concernant les Dieux.

J'ai rajouté un petit passage sur sa vision de la religion.

Lala :hearts: a écrit:: Et pour l'Histoire, il serait bon de faire un petit ajout. Tu parles de "la mort du jeune comte" sans avoir précisé qui il était. Je sais de qui on parle, mais ça serait mieux de préciser ce petit point pour clarifier la chose !

Et il y a une phrase que je n'ai pas saisi : "pour ne pas se retrouver avec une suicidée qui n’était pas de leur sang". C'est de Sintharia dont tu parles ? "Pas de leur sang" me trouble un peu Hum

J'ai rajouté un petit mot sur le comte et des précisions sur le passage pour Sinth, qui du point de vue des Ronciers n'est pas de leur sang ! Huhu

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11/05/2017

C'est tout bon pour moi, merci pour les ajouts !

Félicitations ! Je t'offre ma première validation !
Un.e admin/modo viendra bientôt te corriger si besoin et te valider définitivement par la suite !

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27/01/2018

Moi j'ai pas lu la fiche de Sinth albino

Du coup je m'attaque avec un plaisir tout frais à Soren Twisted Evil

Comme la cheffe, rien à dire sur le caractère et le physique o7
Les descriptions fluides et claires permettent de rapidement comprendre le côté retors et caméléon du personnage.

Concernant l'histoire, je ne suis pas sûre d'avoir compris qui sont les deux derniers enfants de la famille de Val. Soren est le cinquième fils comme mentionné au tout début, mais un peu plus bas :

Soren a écrit:: S’en suivit un autre frère puis au comble du malheur venant briser la suite parfaite de six mâles, une créature bien étrange et sombre

Là tu parles toujours de Soren ? Ou il y a un autre frère après et Sintharia est le septième enfant ? Ou alors Soren le 5, Sinth la 6 et un dernier frère en 7 ?

Je n'ai rien d'autre à signaler Very Happy

(Tant que j'y pense, tu peux recenser l'emplacement de Svartal dans ce sujet pour que nous l'intégrions à la carte du forum)

Côté caractéristiques :

Soren a écrit:: Stratia, épée bâtarde, plutôt lourde, conçue pour que son propriétaire puisse frapper vite et précisément au niveau des failles des armures, mais aussi en combat épée contre épée.
Tranchant ● ● ● ● ○
Résistance ● ● ○ ○ ○
Maniabilité ● ● ● ● ○

Je vais chipoter parce qu'on a pris un axe moins fantaisiste sur les armes non magiques désolée. Ta description est un poil contradictoire, et inadéquate avec la répartition des points. La lame d'une épée bâtarde mesure environ entre 110 et 140 cm (contre 90cm max pour la classique). C'est impossible d'être plus rapide avec qu'une épée classique. On part du principe qu'une arme lourde est plus résistante et moins maniable.
Quant à sa capacité à frapper au niveau des failles des armures, cela dépend surtout du sens de l'observation, des connaissances, et du talent de l'épéiste Wink

Voilà juste deux broutilles à modifier et ce sera tout bon ! C'était un plaisir de te lire, moi qui n'en ai pas encore eu l'occasion (enfin un tout petit peu de RP) What a Face

PS : je voulais dire une connerie rapport au règlement et au perso, mais tu t'en es déjà chargé XD

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24/11/2022

J'ai édité comme demander. Yay

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27/01/2018

C'est très bien, merci pour les modifications Smile

Félicitations !

Félicitations ! Tu as la seconde validation !
Tu peux commencer à poster ton journal de rp Ici et faire une demande rp Là.
Voici ta carte de lien qui pourra te servir dans ton journal de Rp. Elle est facultative. Tu retrouveras les autres cartes à l'atelier de craftage.

[Terminé] Soren Aldwyn - La mort est en avance sur la fin de mon histoire. 7f10

Bon jeu !

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