● Identité
Nom: Bren
Prénom: Larian
Alias: Ulfberht
Sexe: Masculin
Age/date de naissance: 22 Ans / 19 Août 36 de l'ère Lühienne
● Caractère
Plutôt calme et renfermé, Larian n'aime pas attirer l'attention sur lui. C'est une personne affable, polie et respectueuse autant que faire se peut. Ceux qui le fréquente le présentent comme une personne à l'écoute, qui sait presque lire les envies des gens. Même si une grande partie de ces gens ne voient jamais son visage, beaucoup sont ceux qui ont avoué se sentir en confiance auprès du jeune homme.
De son côté, malgré ses manières et sa gentillesse, Larian vit dans la peur, la peur que l'on voit son visage et qu'on le rejette, la peur de voir le regard dégoûté ou apitoyé de la populace qui le juge. Le jeune forgeron sait trop bien que les choses ont tendance à mal se passer quand son visage apparaît, il devient alors le sujet principal des discussions, des racontars et à la fin des moqueries ou bien de la peur des plus ignorants.
Larian a adopté une stratégie simple, il bouge régulièrement de village en village, ne reste jamais très longtemps, à peine de quoi gagner suffisamment pour continuer sa route. Cela a forgé son caractère, il refuse de s'attacher aux autres, se terrant dans sa solitude et l'absolue certitude que personne ne pourra un jour lui être proche. Il va donc sur la route, payant ses séjours en effectuant divers petits travaux. Rêvant du jour où on ne le jugera plus pour ses imperfections.
Le jeune forgeron est quelqu'un de têtu, quand il a une idée en tête, il fera tout pour la réaliser, il est capable d'une concentration intense, oubliant peu à peu le monde qui l'entoure au profit de son but. C'est un âme d'artiste qui sommeille en lui, sur l'imposant grimoire qui lui sert de journal de route et de base de travail, il passe parfois des heures entières à dessiner des concepts d'armure, d'arme et même de pièces courantes.
Cette touche artistique s'exprime de manière un peu plus modeste dans un autre domaine : la poésie. Quelque part dans son sac de voyage, sur un petit carnet coincé entre sa sacoche d'outils et ses rations de voyage, Larian a écrit plusieurs petits textes qu'il aime lire de temps à autre pour se remonter le moral quand les temps sont durs. Ces poèmes sont le reflet des moments les plus sombres de sa vie, des textes qui lui rappelle que les choses peuvent toujours être pires.
Larian est quelqu'un d'assez peu courageux, conscient de sa mortalité et peu désireux de la rencontrer, il préfère souvent la soumission à la confrontation, son désir de se faire tout petit fait de lui une personne très effacée. Réfractaire à la violence, Larian connaît le maniement très basique de l'épée et de la masse d'arme. Cependant, il devrait se retrouver dos au mur pour faire appel à ce maigre savoir. Et même si il possède un attrait indéniable pour la création d'armes et d'armures, il ne voit là qu'un moyen de rendre magnifique un outil servant à tuer, le désolidarisant de sa fonction première.
C'est également un grand pragmatique, il ne peut nier l'existence très probable des dieux, mais si ces derniers ont fait de lui un monstre et qu'il marche sur les terres qu'ils ont créées, ils ne méritent ni son amour, ni son adoration, ni sa considération. L'homme est libre de se forger lui-même, personne ne peut aller à l'encontre de cela. Les Invocations sont les enfants des dieux, ou leurs avatars punis de la sentence de servitude éternelle envers la race humaine pour l'avoir créée. Aux yeux de Larian une telle punition est sévère car pour lui les apparences parfois terrifiantes de ces créatures lui rappelle son propre état, il ressent de l'empathie pour celles qui sont maltraitées et pour lui un lien avec une invocation devrait avant tout être symbiotique.
En ce qui concerne ses objectifs à long terme. Larian souhaite se distinguer, montrer que malgré son imperfection physique, il n'est pas un monstre, une créature dangereuse. Qu'il n'y a aucune raison de le rejeter ou de le prendre en pitié, il est comme les autres. Pour cela, il lui faudra l'aide d'un riche mécène, il a donc décidé de prendre contact avec la noblesse au plus tôt. Il devra faire preuve de finesse pour faire accepter ses conditions.
Larian est un esthète de nature, il aime les belles choses et surtout les beaux objets, malgré ses talents de forgeron, il veut créer une oeuvre d'art, une création à la fois utile et magnifique, une arme serait le mieux, elle survivrait à l'histoire et serait un symbole vénéré pour les générations à venir. Mais il sait que pour cela il doit encore travailler, car si il maîtrise l'art de fabriquer le métal damassé et de le travailler, il n'en connaît pas encore toutes les subtilités.
● Physique
Pour la plupart des gens, Larian est un passant comme un autre, mis à part ses bandages sur la tête, il n'a rien de bien particulier. Mesurant un mètre soixante-dix, il est de taille moyenne, sa corpulence, malgré le métier qu'il a choisi et ses voyages constants, est restée plutôt fine. Sa musculature ne s'est pas développée en taille. Larian est donc resté plutôt sec, mais il possède une force suffisante pour effectuer son travail et l'endurance pour le faire sur la durée. Larian s'habille de manière fonctionnelle, il n'a pas de place ni de temps pour les fantaisies inutiles. Pour cette raison, ses vêtements sont soit des vêtements de voyage soit des vêtements de travail. Il se contente d'en changer en fonction de son occupation du moment.
Ses vêtements de travail se composent d'un tablier de cuir avec des lanières pour y attacher des outils, d'un masque de protection, d'épais gants et de vêtements résistants à la chaleur. Sa tenue de voyage se constitue de ses bandages, d'une tunique grise renforcée de cuir et d'un sac de voyage. La seule constante est le fait que son visage soit souvent caché, étonnamment, on lui a bien peu souvent demandé de vraiment le montrer, à chaque fois Larian à dut refuser et passer son chemin. La voix calme et posée du forgeron et ses manières lui ouvre cependant la plupart des portes. Quelque soit son interlocuteur, le profond respect dont il fait preuve et qui se manifeste jusque dans l'intonation de sa voix est une véritable arme de persuasion dont il n'hésite pas à utiliser pour se maintenir en sécurité. Si jamais le combat devait éclater, il possède un bâton de voyage et une épée courte simple mais solide et gravée de sa signature : +ULFBERH+T
(résultat visuel).
Sous le masque et les vêtements, Larian est presque un jeune homme comme les autres. Sa peau beige est pâle à cause du manque d'exposition au soleil, ses cheveux sont noirs et son expression exprime souvent la sérénité ou la concentration. En dehors de cela, le physique de Larian à quelque chose de démoniaque, de dérangeant. Sa peau sur tout le côté supérieur gauche de son corps se divise en diverses plaques. À certains endroits, une sorte de seconde peau s'est formée, formant le début d'une armure naturelle qui est restée aussi molle que n'importe quel tissu humain. Son œil gauche est d'un noir profond avec un iris jaune luisant, il prend donc de grands soins pour le dissimuler. L’œil droit, le normal, est quant à lui d'un gris acier terne comme les jours d'orage.
● Vie
Famille: Elios Bren : Père de Larian. Chasseur d'un village des Landes Luxuriantes, il a toujours prit le parti de son fils et l'a défendu contre l'ignorance et la superstition des autres. C'est lui qui a aidé Larian à partir du village pour avoir un avenir plus brillant, le forgeron le respecte énormément.
Wanda Bren : Mère de Larian, elle est morte en couche en lui donnant la vie. Il ne lui reste d'elle qu'un pendentif qu'il emporte partout avec lui.
Yolto Bren : Frère aîné de la famille, c'est un grand gaillard volubile et populaire, Larian est très jaloux de lui mais il n'oserait jamais penser à lui faire du mal.
Linetta Bren : Soeur de Larian, elle a été comme sa mère. Morte lors d'un raid de bandits quand il était plus jeune.
Gustaf Hex : Le forgeron qui as tout appris à Larian et sans doute la seule personne qui lui inspire plus de respect que son père. Mort de vieillesse il y as quatre ans.
Histoire: La peur de l'inconnu, la peur de l'autre, de sa différence, de son imperfection. Rien ne prédestinait Larian à devenir le monstre, celui que l'on craint, repousse et chasse. Quand il est né, il était parfaitement normal, bien que sa mère soit morte en lui donnant la vie, tout semblait bien commencer. Ses premières années se passèrent sans problème majeur, une vie banale dans les Landes Luxuriantes dans un petit village d'une cinquantaine d'âme sur les bords de la rivière Ivre. Larian était un enfant bien élevé et sympathique, même si son père désespérait de le voir aussi peu doué à la chasse et incapable de porter le coup fatal à un animal. Sa sœur s'occupait bien de lui, elle lui transmit l'amour des belles choses et du travail bien fait, des valeurs héritées de leur mère.
Mais le destin est un chemin au sens parfois obscur, alors qu'il avait huit ans, la vie de Larian bascula dans l'horreur. Tout commença par la présence d'un groupe de bandit dans la région. Rien de bien fantastique, les habitants affûtèrent leurs outils, préparèrent des rondes plus serrées et cachèrent tout ce qui avait trop de valeur pour subir les assauts des mains avides de ces scélérats. Larian avait peur, peur de ce que les bandits pourraient lui faire si ils venaient dans le village, si seulement il avait su il aurait pris la fuite.
Même si il n'était encore qu'un enfant de huit ans, Larian possédait une grande compréhension des choses. Il savait lire les gens, il pouvait presque deviner leurs intentions en voyant leur visage. Difficile de lui mentir ou bien de l'empêcher de comprendre qu'il y avait un problème, c'est pourquoi quand son père entra dans la maison en claquant la porte, son arc de chasse en main, le pauvre garçon ensommeillé compris que quelque chose se passait mal. Il voulut se lever, mais son père l'avait déjà saisi entre ses bras et réveillait son frère et sa sœur. Larian était encore un peu confus, le sommeil embrumant un peu ses pensées, c'est alors que la porte vola en éclat et qu'un homme immense fit son entrée. Ses bottes renforcées de métal cliquetèrent contre le bois du sol de la maison, son imposant manteau de fourrure frotta contre le sol en même temps que l'imposante épée bâtarde qu'il portait. Son père réagit immédiatement, mettant son fils entre les bras de Linetta, il banda son arc et décocha une flèche qui se planta dans le torse du colosse de deux mètres de haut. Les yeux marron du bandit s'illuminèrent de fureur et il bondit alors, abattant son arme sur le père de famille qui ne put que parer le coup in extremis. L'arme fracassa l'arc et frappa son père à la tête, il s'écroula et du sang commença à couler sur le sol, partant d'une entaille sur le front. Son frère tenta de se saisir d'une chaise pour attaquer, mais la garde métallique de l'instrument de mort manié par le bandit frappa sa tempe et il tomba inconscient.
Une fois les deux dangers principaux de la maison à terre, le bandit se dirigeât vers Le Larian et Linetta, pétrifiés de terreur. Linetta se recroquevilla autour de son petit frère, du haut de ses 14 ans, elle ne comptait pas laisser son frère mourir entre les mains d'un bandit sans avoir fait tout son possible. Mais le pillard avait d'autres plans. Il se saisit de sa sœur par les cheveux et la traîna à l'extérieur de la maison. Larian se leva et se précipita à l'extérieur, tentant de fuir, les bandits se battaient dans tout le village, pillant ce qu'il y avait à piller. Les hurlements envahirent ses oreilles, il se jeta sur l'imposant bandit qui tentait maintenant de violer sa sœur. Alors que celle-ci se débattait en vain, son agresseur qui la maintenait au sol et l'observait d'un air qui n'augurait rien de bon fut pris d'un sursaut quand la lame de la dague accrochée à sa ceinture pénétra la peau de son cou au niveau de la carotide, il se leva avec un air stupide sur le visage, tenant sa blessure du mieux qu'il pouvait avant de s'écrouler en hurlant. Un groupe de trois malfrats, attirés par le bruit, fit alors son apparition. Un des malfrats asséna une gifle retentissante à Larian qui tomba au sol en faisant tomber le couteau. En pleurs et désormais désarmé, il fut pris à parti par son agresseur qui le tabassa, assénant coup de poing sur coup de poing en hurlant des insanités. Au milieu de la douleur et du sang, Larian entendait toujours les cris de sa soeur.
Le réveil fut des plus douloureux, Larian était couvert de bandages, visiblement il avait reçu des soins, il se permit d'espérer, des espoirs qui furent brisés dès qu'il sentit les chaînes à ses pieds. Les yeux bandés il tenta de trouver quelque chose de rassurant, mais sous la paille qui lui servait de lit, il ne sentit qu'un sol de pierre froid et humide. Ses craintes furent confirmées quand il entendit quelqu'un rentrer et lui expliquer qu'il était désormais l'esclave et le jouet de la bonne volonté de leur chef.
Les jours suivants furent peur et désespoir. On finit par retirer ses bandages, son visage était encore gonflé par la raclée qu'il avait reçue, il souffrait atrocement et il avait faim. On traîna l'enfant devant le chef qui le considéra quelques instants. La situation était claire. Larian n'était qu'un esclave, un objet faisant partie du mobilier, jamais il ne reverrait sa famille ou ses amis, sauf si ils avaient un jour le malheur de connaître son sort. L'enfant était perdu, complètement déboussolé, il se mit à pleurer, mais une gifle bien sentie le remit à sa place. Le chef des pirates se servit de lui pour la moindre tâche ingrate. Nettoyer ses appartements, le laver quand il prenait son bain, changer son pot de chambre, rien ne fut épargné. Gorm, comme il se faisait appeler par les autres, prenait un malin plaisir à humilier les gens, que ce soit ses propres hommes ou bien Larian. Il ne perdait jamais une occasion de rappeler à tous sa supériorité.
Gorm était également un fin admirateur de tout ce qui touchait de près ou de loin à la magie, déjà détenteur d'une collection d'artefact assez impressionnante, il venait de faire récemment l'acquisition d'un objet, un morceau de basalte sensé receler un grand pouvoir, mais qui pouvait également consumer l'utilisateur. Selon certains textes, l'orbe auquel appartient ce fragment de pierre conférait à son utilisateur la capacité de réduire des armées entières à néant en plongeant son porteur dans une furie destructrice, mais le prix à payer était une lente transformation à l'état de créature marine : sur ce point les légendes sont en désaccord, on parle de langoustes, de poulpes et même de poisson clown. Le résultat reste cependant le même, au début humanoïde, l'utilisateur finissait par devenir une créature inoffensive et stupide, tel était le prix à payer pour le désir d'être puissant. L'orbe fut détruite lors d'une bataille sanglante, mais un fragment avait subsisté et était parvenu par le biais du marché noir au bandit.
Ayant déjà eut affaire à la magie, il savait bien quels ravages elle pouvait causer, comment vérifier cet artefact sans danger? Une idée lumineuse traversa son esprit : et pourquoi ne pas user d'un intermédiaire? Gorm se leva et se saisit du sac contenant l'artefact, il le donna à Larian et lui ordonna de le sortir de son sac et de le ranger sur la table de chevet. Larian s’exécuta, mais à peine eut-il mis l'artefact dans sa main qu'une puissante décharge d'énergie fit trembler la pièce. La roche se mit à frémir alors que la peau de Larian se transformait, l'enfant poussa un hurlement déchirant, son corps n'était que pure douleur, il sentait sa force augmenter. Rendu fou par la souffrance, il pulvérisa la table de chevet d'un simple coup de poing. Gorm compris son erreur, alors que dans la pénombre qui enveloppait l'enfant une braise ardente semblait le toiser, il vit l'enfant surgir des ombres, une grande partie du corps recouvert d'une énergie malsaine, le coup qu'il lui asséna fit tout simplement exploser le crâne du chef des bandits qui se répandit dans toute la pièce. Un hurlement de rage échappa à Larian, sa soif de sang n'était pas étanchée, les bandits qui déboulèrent dans la cave furent mis face à une bête féroce qui se tailla un chemin sanglant parmi eux. Quand Larian repris conscience, il était couvert de sang, la moitié supérieur de son côté droit le faisait souffrir et la pierre commençait à fusionner avec son corps. Larian sentit sa volonté défaillir alors qu'une nouvelle décharge de douleur l'assaillait, il sentait sa chaire se recomposer, se rassembler et se réorganiser selon un schéma tout à fait nouveau.
Quand il reprit conscience, ce fut au son des bottes et du cliquetis des armures. Ouvrant les yeux, il reconnut la livrée et la tenue des miliciens de la Brigade Sud/Ouest, après plusieurs semaines de pillage, le repaire avait été trouvé et Larian était en apparence le seul survivant d'un incident d'origine inconnue qui lui avait laissé de graves séquelles. Couvert d'un draps, Larian fut ramené dans son village où il découvrit que son père et son frère étaient toujours en vie.
Même si son père et son frère l’accueillirent à bras ouverts, le village voyait d'un mauvais œil son retour. Sa différence était dérangeante, étrange. Et si sa captivité l'avait changé? Si il était un piège des brigands pour tous les exterminer? Les villageois firent preuve d'une hostilité grandissante, Larian commença à éviter l'extérieur de sa maison, couvrant son corps déformé du mieux possible quand il osait mettre le nez dehors. Son père et son frère en souffrirent également beaucoup, décision fut prise de mettre fin à tout ça.
Depuis son retour, Larian s'était découvert une passion pour la fabrication et tout ce qui touchait au manuel. Son père connaissait heureusement un homme qui lui viendrait en aide, un forgeron d'un village voisin avec qui il avait forgé une puissante amitié. Il envoya donc son fils apprendre auprès de cet homme, à l'âge de 8 ans, Larian empruntait la voix de la forge et il se révélait très vite comme un élève studieux et attentif. Gustaf lui transmis durant dix ans l'amour du travail bien fait, toutes ses techniques de forge et tout ce qu'il savait sur les métaux et le travail de cette matière, il lui révéla aussi son plus grand secret, la création d'un acier si pur et si solide qu'il n'avait aucun égal : l'acier damassé. Le jeune apprenti passât un nombre incroyable d'heures derrière le soufflet, se cloîtrant dans l'arrière forge pour frapper le métal et faire de chaque création une oeuvre d'art. Le vieux Gustaf appréciait beaucoup cela, son corps fatiguaient et Larian était la personne toute indiquée pour prendre sa suite.
Mais en secret il rêvait à d'autres horizons, rester cloîtré entre ces murs ne lui plaisait pas. Depuis quelques temps déjà il sortait en cachette, couvert de la tête au pied, son visage recouvert de bandage, il passait pour un grand brûlé la plupart du temps, cet anonymat nécessitait cependant qu'il change fréquemment d'endroit, que les gens ne se posent pas trop de questions, il apprit à se faire discret, à disparaître dans la foule anonyme et à vivre sans déranger la délicate harmonie qui le gardait invisible aux yeux du monde, un simple malchanceux parmi tant d'autres.
Larian put ainsi développer ses talents, il revoyait fréquemment sa famille, incapable de les abandonner. Des rencontres hors de son village natal afin de ne pas raviver de mauvais souvenirs. Quand Gustaf finit par mourir une nuit dans son sommeil, Larian compris enfin qu'il était en fait totalement libre, qu'il pouvait disparaître sans jamais donner de nouvelles de lui. Il se saisit alors de la première épée qu'il avait forgé, quelques affaires et décida d'errer sur les routes en attendant le jour où il pourrait se révéler au monde comme le meilleur forgeron de la terre et enfin faire reconnaître que son apparence n'était justement qu'une façade et pas qui il était vraiment que ce soit un monstre ou un pauvre malheureux qui avait besoin de soutien. Depuis ce jour, il parcours l'île, prend des emplois temporaires et continue son chemin sous un nouveau nom : Ulfberht.
● Autres
Métier: Forgeron itinérant spécialisé dans le métal haut de gamme
Signes particuliers: Côté supérieur gauche du corps déformé
Rêve, ambition: S'affranchir de la barrière de son physique et être reconnu pour son talent, briller aux yeux des autres
● Hors Jeu
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