I)IdentitéNom : Val-Lheureux
Prénom : Jean
Sexe : Masculin
Age/date de naissance : 23 ans/né en l'an 35
II/CaractèreJean est un écrivain. Il vit pour le personnage qu'il a créé. De ce fait, pour nourrir son inspiration, il n'hésite pas à aller au contact des autres. Même si cela peut paraître déplacé. Même si cela est inhabituel. Peu importe que son interlocuteur soit un guerrier, un noble, une déitée, une femme enceinte ou un vieil éclopé. S'il a besoin de connaître l'histoire de cette personne pour créer une nouvelle pour son héros, il ira.
Élevé par ses deux parents, il a eu une enfance simple mais heureuse. Bon fils, il n'a quasiment jamais transgressé les règles. Ce qui signifie qu'il s'est toujours contenté de la ville de Lüh pour enrichir son héros d'écriture. De ce fait, il rêve de plus en plus à voyager. Il sait que d'une certaine manière, ce qui est ailleurs est pareil que ce qui est ici. Mais le besoin se fait plus urgent que la raison. Il prendra le temps de se sédentariser dans quelques années.
Jean n'est jamais vraiment sorti de Lüh. Ce qui ne signifie pas qu'il se soit contenté d'une vie paresseuse à vivre des richesses de ses parents. Au contraire, il lui arrive fréquemment de donner des coups de main. Ce qui lui permet de varier les points de vue, d'acquérir de nouvelles compétences. Après trois paragraphes de caractère, on peut déjà déceler une obsession pour cet « autre lui imaginaire ». Autant dire que Jean peut vraiment devenir énervant et collant par moments.
Plus qu'un bon fils, c'est également un jeune homme qui passe régulièrement du temps à la bibliothèque pour entraîner son esprit. Il y a d'ailleurs noué une relation avec un certain Meslial Bororo. Mais les deux hommes ne se sont pas vus ces quelques dernières années. Enfin, en plus d'entraîner son esprit, Jean entraîne son corps. Tous les jours si possible. Que ce soit courir quelques kilomètres, ou enchaîner divers exercices.
« Je m'appelle Gismond d'Hyppolite. Malgré un jeune âge -23 années-, j'ai déjà à mon actif nombre de faits d'armes, d'aventures et d'héroïsme. D'un caractère enjoué, je n'hésite pas à aborder les gens, m'enquérir de leurs santés et de leurs nouvelles. C'est de cette façon que je me fais connaître et que certaines quêtes me sont proposées. Je ne peux les refuser. Ma nature humaine m'en empêche. »III)PhysiqueJean n'a pas un physique qui attire les yeux. Avec sa taille moyenne, ses cheveux courts et marrons, tout comme la couleur de ses yeux. Par contre, il a cette lueur dans les yeux qui brillent. Ainsi que ce sourire constant, sans raison, qui invite les gens maussades à sourire également.
Même son prénom n'est pas héroïque : Jean. Par contre, son nom l'est plus lorsqu'il est mal prononcé : « valeureux ». C'est parce que son nom peut-être prononcé de cette manière qu'il s'entraîne autant. De ce fait, lorsque Jean se retrouve avec seulement un caleçon, on peut déceler un corps sain. Pas un corps de culturiste, pas des abdos super bien dessinés, mais un corps musclé et énergique.
« Moi, Gismond d'Hyppolite, a acquis un corps divin de mes parents. Grands et élancés, mon visage rayonne de mes yeux bleus et d'une couronne naturelle et solaire. Bien entendu, je fais mention de mes longs cheveux blonds. Naturellement musclé, j'ai décidé de magnifier cette condition physique afin de ne pas rendre jaloux les autres hommes. Je m'entraîne donc plusieurs heures par jour. »Habillé, Jean ne brille pas non plus par tant d'originalité. Des vêtements classiques, donc peu onéreux. Pas de dessins sur ses tee-shirts ni d'accessoires qui en pendent. Par contre, tous sont de couleurs unis, du jaune au bleu, en passant par le rouge et le vert. S'il se fiche de l'aspect esthétique de ses pantalons et de ses vestes, il est catégorique sur une chose : la matière ne doit pas être rêche. Il tient à porter des vêtements qui lui donne le maximum d'amplitude dans ses mouvements. Mis à part cela, Jean aime porter une paire de chaussures rouge et changer de temps à autre des accessoires comme des bagues ou des bracelets pour se mettre « dans son personnage ».
IV)Vie – Famille Père : Pierre Val-Lheureux, homme s'occupant de l'entretien de la ville de Lüh. Plus particulièrement les espaces verts.
Mère : Catherine Val-Lheureux, femme s'occupant d'une petite boutique dans la rue marchande. Elle fabrique notamment des attrapes-rêves.
« Moi, Gismond d'Hyppolite, a un devoir envers ma famille. Ma mère -Alexia- étant l'entraîneuse en chef de la ville, et mon père -Ian Aloysius- étant le conseiller stratégique, je me dois d'être à leurs hauteurs. Et même davantage ! Pour alléger cette tâche, je sais que je peux compter sur mon frère qui n'est pas de sang -Ouroboro- qui est un jeune guérisseur qui commence à faire beaucoup parler de lui. »IV )Vie – HistoireAujourd'hui est un jour normal pour Jean Val-Lheureux. Levé avec le soleil, il décide de commencer sa journée par courir dix kilomètres dans les ruelles encore désertes, s'éveillant avec l'ouverture des boutiques et des étals.
« Je sens que cette journée sera merveilleuse. Quelques pompes pour s'échauffer. J'enchaîne avec un petit dix kilomètres sur les murailles de la ville pour vérifier que rien de monstrueux ne se précipite sur les bienheureux et les travailleurs. »Dans la matinée, il rend visite à son père. La chaleur est encore fraîche, et il sera agréable de s'occuper des nouvelles fleurs. Ce sont des croisements nouveaux de l'ami de mon père. Apparemment, ce sont comme de petits soleils irradiant de leur propre lumière.
« Cette journée est étonnamment calme. Mais cela me permet de marcher dans la Grande Allée de Lumière. Une construction forte simple faite d'une structure en acier, magnifié par une rare variété de plantes qui continue de nous abreuver de leur lumière. Même lorsque la nuit est tombée, cette allée n'est jamais plongée dans les ténèbres. »Au midi, Jean s’assoie sur les quais, observant les vas et viens des bateaux. C'est un spectacle modeste mais qui fait travailler l'imagination. Qu'y a-t-il dans ces cales ? Où vont-ils ? Est-ce que par delà cet horizon se trouve de nouvelles créatures ? D'autres humains ?
« Passant par hasard le long des quais, je découvre avec horreur qu'un bateau coule. Nulle attaque apparente, mais il n'empêche que la mariée se noie dans sa lourde. Sans réfléchir plus longtemps, je plonge élégamment et viens à sa rescousse. Je luis fait du bouche à bouche sans arrière pensée, et elle me remercie grandement. Elle me demande ce que je désire, et je lui réponds simplement : que votre mariage soit merveilleux. »L'après-midi, Jean aide sa mère à fabriquer de nouveaux attrapes-rêves. Il assouplit des branches de bois pour former dans quelques jours des anneaux qui serviront de structures. Il s'occupe également de tresser quelques longueurs de fils de couleurs différentes, les enroulant finalement proprement dans des casiers spécifiques.
L'après-midi laisse place à la soirée. La soirée laisse songeur Jean l'écrivain qui pense alors :
*Demain j'irais interrogé une déitée. Je veux savoir ce qu'elle a ressenti lorsqu'elle était enfermée. Je suis sur que j'y trouverais de la matière pour écrire une nouvelle aventure de Gismond d'Hyppolite. *La journée suivante, Jean s'en va dans une taverne de la ville de Lüh. Une qui se trouve près du bâtiment abritant la Garde Dorée. Plusieurs fois l'écrivain y est venu et plusieurs fois il en est reparti avec le sourire aux lèvres. Effectivement, il y a appris les rudiments du maniement du couteau auprès d'un soldat accompagné du demi-dieu qu'il avait un jour libéré du Temple de la Terre.
- Bonjour monsieur Georges ! Bonjour Gord !
- Comment va l'écrivain aujourd'hui ? Qu'est-ce qu'il veut encore savoir ?
- Hier soir, je cherchais de l'inspiration pour une nouvelle histoire. Quelque chose basé sur le passé de Gismond d'Hyppolite et de sa relation avec les Dieux et Déesses.
- Mais encore ?
- Et bien, je me demandais ce que c'était que d'être prisonnier dans le Temple ? J'aurais voulu savoir comment ça se passait. S'il y avait une sorte de hiérarchie. S'il y avait une chance de voir les Dieux et Déesses au-dessus des Dieux et des Déesses.
Jean Val-Lheureux ne craignait pas les créatures pleines de magie comme Gord. Une espèce de titan de pierre marron dont des morceaux noirs semblaient émerger comme de l'acné. Sauf que cela avait pour fonction de résister aux piques des lances ou aux estocades d'épées. Jean ne les aimait pas particulièrement non plus. A ses yeux, les Dieux et Déesses étaient des êtres aussi intéressants que les êtres humains.
(D'ailleurs, il irait bientôt aborder cette Garde Dorée là-bas. Celle qui avait la peau pâle, les cheveux blancs et les yeux rouges.)
- Mais dis-moi l'écrivain, pourquoi est-ce que tu écris ?
- Pour vivre ma vie.
- Hein ? Je comprends pas.
- Disons que c'est une excuse. Elle me pousse à faire des recherches sur des métiers auxquels je n'aurais jamais pensé m'intéresser. Elle me pousse à faire des rencontres et donc à me faire de nouveaux amis. Sans compter qu'écrire permet de recolorer la vie de milles feux quand elle est seulement banal et grise.
(Caristan. L'albinos répondait donc à ce nom. Il était peut-être venu le moment de laisser monsieur Georges et Gord retourner à leurs propres occupations. Oui, c'était décidé. Jean Val-Lheureux allait aborder Pia Caristan.)
Finalement, Jean n'était pas allé voir Pia Caristan. Un petit garçon du nom de Pierrot était venu le chercher. Lui et sa famille avaient besoin d'un coup de main pour préparer une fête d'anniversaire. La journée de préparation avait passé. Puis la fête avait commencé le lendemain. Dans le milieu de la journée, Pierrot était venu voir Jean qu'il considérait comme son grand-frère.
- Dis, Jean. Tu me racontes une histoire ?
- Pourquoi pas. De toute façon, il ne se dit rien d'intéressant.
- Cool !
Les deux hommes s'étaient éloignés pour s'asseoir dans un coin éloigné des discussions, des danses et des rires. Jean s'était assis sur un rebord en pierre tandis que Pierrot s'était assis par terre en tailleur.
- Alors, qu'est-ce que tu vas me raconter, Jean ?
- Laisse moi réfléchir un instant. Oui. Voilà.
« Déjà jeune homme, la vie illuminait ma voie d'héroïsme. J'étais promis à un grand avenir et tout me le disait. Cela du commencer dans les rues de la Grande Ville de Lüh. Alors que j'avais fui la demeure familial oppressante de conventions et de traditionalisme, je me retrouvais dans les rues animées par les différents étals et les cris des marchands. Soudain, voilà que j'entendais des cris d'une sorte différente. Je m'en approchais pour découvrir une bande d'enfants agressant un autre. Sans plus réfléchir, animé par l'entraînement de ma mère et l'esprit de mon père, je me jetais dans la bataille. Au début, ce fut comme de la magie. Mes pas se plaçaient exactement où il fallait pour esquiver tous les coups et contre-attaquer efficacement. Puis la hargne de ces combattants des rues et leur supériorité numérique me submergea. C'est ainsi que Ouroboro et moi-même sympathisâmes, tous les deux meurtris dans notre chair. »
- Wouah ! C'est en te cognant avec des autres que tu es devenu ami avec Ouroboro ?
- Ouroboro ? Ah, mince. J'ai oublié de changer son nom... En fait, non. On s'est rencontré à la bibliothèque. On lisait tous les deux la même série de romans. Sauf que lui avait un tome d'avance sur moi.
- Pff... C'est nul. C'est pas du tout glorieux ça.
Jean se releva et invita Pierrot à retourner à la fête. Le dessert arrivait. Ils ne pouvaient pas le manquer. Mais avant, sa main se posa sur l'épaule de son « petit frère ». Il le regarda dans les yeux et lui dit :
- Tu sais, Pierrot, dans la vie, les gens ont généralement un passé ennuyant. C'est pour ça qu'on ne garde pas beaucoup de souvenirs.
- Mouais. Peu importe, j'ai faim maintenant !
(grand sourire)
V)AutresMétier : Écrivain
Signes particuliers : Chaussures rouge.
Rêve, ambition : Écrire toute sa vie de nouvelles aventures de Gismond d'Hyppolite.
VI)Hors JeuComment avez-vous découvert ce forum ? Meslial Bororo, ça vous rappelle quelqu'un ?
Comment trouvez-vous l'intrigue de ce forum ? Je reviens. C'est donc que c'est intéressant
Comment trouvez-vous le design de ce forum ? Chaleureux. Sobre. Fantastique.
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