Eira

28/12/2022

Eira

Est-ce le mal, qui est au cœur de l'amour?
Ou l'amour, qui est au cœur du mal?

ꖘ Identité

Nom : Livius
Prénom : Eira
Genre : Femme
Âge : 21 ans [17 d'Aqua, an 42]
Endurance : 9

Clan : Hommes Libres
Statut : Grande Vassale

ꖘ Psyché

Il n'est guère aisé d'appréhender l'esprit humain. Cette réalité constitue l'une des énigmes favorites de la jeune nordienne. Le sien, souvent vif, perspicace, mais aussi très rationnel, tente toujours de découvrir de nouvelles voies de compréhension. A l'égard des êtres, mais aussi du monde de façon plus vaste. La complexité qui forme l'existence de toute chose. N'avoir plus aucun mystère à résoudre, est sans nul doute un des rares faits qui l'effraye.

Cela, et le changement. Constante en bien des manières, le caractère impassible et sérieux d'Eira fait, certes, d'elle un individu patient, au sang-froid incommensurable. Mais l'expose également à un certain besoin de stabilité. Elle n'a pas foncièrement peur des imprévus ou de l'évidence même que rien ne soit immuable. Néanmoins, le changement implique la remise en question de repères, parfois longuement et difficilement acquis. Réitérer la construction de nouvelles balises, de nouveaux piliers, demande une énergie conséquente, forcément déployée sans l'appui des précédentes ressources désormais disparues.

L'enfant taciturne et mesurée n'a point changé. Il est assez occasionnel de l'entendre, à moins que cela ne soit pour évoquer un avis ou un constat utile. Concret. Quant à son tempérament placide, il est tel la glace de la Plaine nordique, malgré les tempêtes ou les affres risibles d'Ignis, rien ne peut le perturber. Son faciès exprime le calme en toute situation. Attention! Il ne s'agit aucunement de contrôle. Rien n'est véritablement bridé, les émotions sont simplement d'une nature sereine. Ses facultés de rationalisation et sa rapidité d'analyse sont telles, que jamais un sentiment ne sera plus haut qu'un autre. Car tout à déjà été entrevu, réfléchi, établi, anticipé.

A une petite exception près, la curiosité intellectuelle. Lorsqu'elle est confrontée à un défi de l'esprit, Eira peut faire montre de "sensibilité", en quelque sorte. Mais cela transparaît peu souvent. Voire presque jamais, malheureusement pour elle. Seul son oncle savait attiser le fil acéré de ses pensées. Et les challenges qui se manifestent depuis lors, n'égalent jamais véritablement ceux qu'il lui offrait.

Cette attitude, ou plutôt ce mode d'être, naturel en soi pour la jeune femme, peut attirer de bien différents points de vue sur sa personne. Pourtant, de manière globale, c'est le respect, teinté d'une touche d'intrigue, qui prime. Son oncle était un personnage singulier mais hautement considéré au sein du clan comme de la Confédération. Beaucoup sont ceux qui ne remettent pas en question le choix qu'il a posé, et chacun est en mesure de constater l'efficacité de la jeune Grande Vassale. Qu'importe si elle paraît un rien spéciale, elle n'en demeure pas moins une nordienne vouée à la protection des siens, comme tous ont déjà pu l'entendre ou le constater. Lorsqu'on la connaît davantage, son impassibilité caractéristique reflète peu de la froideur, et davantage une forme de compréhension à l'encontre de tout être et toute chose.

Bien que les enfants divins demeurent une forme de mystère à ses yeux. Ils ne lui inspirent pas de sentiment précis, si ce n'est la curiosité. Celle de leurs origines, leur fonctionnement, leur... Vie. Un jour, elle a observé Méphélys avec grand sérieux, pour lui demander une simple chose.

« Si vous ne pouvez réellement mourir, êtes-vous seulement en vie? »

Une question qui n'attendait pas vraiment de réponse. Déjà consciente que la liée de Bragnar ne puisse en donner. C'est un doux sourire qui lui fut retourné. Et face à celui-ci, Eira érigea une pensée à l'égard des Quatre. Décidant au plus profond d'elle-même, que s'il existaient vraiment, alors ils devaient être la plus insaisissable énigme qui soit.

ꖘ Apparence

Comme bien des Livius, Eira possède le teint clair, voire pâle. Malgré les rayons solaires aiguisés des grands ciels blancs du nord. Un léger hâle peut se distinguer en milieu d'Ignis, mais il ne perdure jamais longtemps. Le blond, lui aussi très diaphane, leur est également propre. Sa grand mère paternelle, comme son oncle, possédaient des teintes similaires. Une clarté moins prégnante chez son père, d'un châtain doux. La jeune femme les porte très courts, rasés sur les côtés et l'arrière du crâne.

Outre ces deux aspects, elle a hérité d'un regard mêlé, au bleu opalescent des Livius, se conjugue le gris chaleureux de sa mère, Mirriun, fille des Gaerik. Une petite lignée d'importance moindre, mais constituées de chasseurs et archers émérites. Dont sa mère, qui à ce jour ne participe plus aux ravitaillements, en raison d'une blessure à la jambe.

Les traits fins et ciselés de son visage sont indéniablement empreints à Mirriun, et plus encore à son grand-père maternel. Qui vénère les cicatrices balafrant son visage, trop doux et féminin à son goût avant qu'il ne les acquiert. Elle porte souvent quelques marques peintes, traditionnelles d'une part, mais surtout en mémoire de son oncle. En effet, les lignes bleutées qu'elle arbore sont en tous points similaires aux peintures guerrières que revêtait Bragnar Livius avant de partir effectuer des raids en territoire sudiste. Ou défendre des clans alliés.

La silhouette physique se détache quelque peu de ses parents. Chaque lignée généralement porteuse d'enfants assez castards et courts sur pattes, son propre père n'excédant pas le mètre soixante-cinq. Deux centimètres de plus que sa femme. Eira possède un gabarit plus élancé, bien que musclé par les entraînements et le port d'une armure intermédiaire. Elle atteint aisément le mètre septante-et-un, pour un poids qui avoisine les soixante-six kilos.

ꖘ Vécu

‡ Père : Vorald Livius, guerrier (47 ans)
‡ Mère : Mirriun Gaerik, ancienne chasseuse (46 ans)
‡ Frère cadet : Piotr Livius, artisan vannier et pêcheur (17 ans)
‡ Oncle [décédé] : Bragnar Livius, ancien Grand
Vassal, capitaine du Brumeux et guerrier émérite (51 ans)

‡ Dehors, de doux flocons parsèment le ciel zébré de stries roses et orangées. Une neige fine, mais persistante, tombe sur la Forêt du Nord et le clan imposant qui y siège. Un calme aussi blanc que le nom porté par l'enfant. Le nourrisson, yeux grands ouverts, se laisse bercer par un homme trapu et quelque peu barbu.

« Quel silence. Regarde-la, Mirriun. Même lorsque tu l'as mise au monde, elle n'a pas poussé un cri. Crois-tu qu'elle soit muette? » Le regard d'un bleu pâle se fait souriant et attendrissant. Cela n'aurait pas d'importance. Surtout depuis les années qu'ils l'attendent, sa femme ne réussissant guère à tomber enceinte.

Les semaines passant, de rares échos vinrent démentir cette supposition. Les saisons qui suivirent également, pourtant... La fillette s'avère d'un calme et d'une discrétion particuliers. Malgré une curiosité précocement développée à tous les égards.

‡ Le nouveau jeu de bois tourne entre les petites mains agiles. L'esprit, tout aussi vif, agence avec concentration chaque pièce mobile. Quelques minutes s'étirent, peu en comparaison de la dernière fois. Oncle Bragnar sera ravi! Un fin sourire vient habiller les traits clairs, souvent impassibles en temps normal. La main repose l'objet et l'observe un instant.

Deux paires d'yeux font de même, quelque peu en retrait. Bien qu'aimant, le couple de parents se questionne. Leur fille trouvera-t-elle une place au sein du clan? Son esprit ne semble guère disposer à s'accommoder d'une quelconque fonction. Et les contacts avec les autres enfants s'avèrent inhabituels. Pas tant négatifs. Enfin, elle ne semble nullement affectée en tout cas.

‡ « Eira... mère a bien fait de te nommer ainsi. Tu es comme la neige. Froide et sans saveur. » Le garçon de sept ans observe son aînée, droit comme un 'i', bras croisés, planté sous son nez. La jeune fille esquisse un discret sourire, alors que sa plume poursuit son tracé avec une précision exemplaire. Son timbre de voix pose avec calme une observation. « Tu as peut-être raison, Piotr. »

D'un geste vif il écarte ses bras en gesticulant. Le ton plus haut, exacerbé. « Ha! Pourquoi est-ce que rien ne te met en colère?! » Le crissement léger sur le parchemin s'interrompt un bref instant. L'éclat gris-bleu daigne s'attarder sur le regard vif et emporté. « Dis-moi, que ressens-tu au fond de toi lorsque tu es en colère? »

Sans réel besoin de réflexion, une tirade s'ensuit. « Je suis énervé. Je brûle de rage et je broierais tout ce qui se présente sous ma poigne! Pour évacuer le mal qui me ronge, sur quelque chose, ou quelqu'un. » Un petit poing levé vient illustrer le propos.

« Tu as mal, donc. Et tu brûles intérieurement, de surcroît. » Les opales claires s'en retournent à l'encre encore non déliée. Le fief se penche à nouveau sur son ouvrage, et la voix achève avec une pointe d'évidence. « Tu vois, Piotr, tu n'as pas besoin de me poser une question pour en connaître la réponse. »

‡ L'éclat du métal résonne à ses oreilles. Le plat de la lame s'écrase contre le casque de son adversaire. Il doit avoir la sensation qu'une multitude de cloches sonne contre les parois de son crâne. D'un geste fluide, profitant de la gêne occasionnée, le pied d'Eira percute le bas ventre, et envoie valser Sigmund le cul dans la neige boueuse.

Elle s'en détourne et ôte son propre casque. Quelle plaie, elle se battra sans désormais. Vu qu'elle doit tout de même continuer. Son père lui sourit d'une oreille à l'autre. Son oncle tapote son épaule avec un enthousiasme moindre. « Alors? » Demande-t-il, peu tenté de connaître la réponse. Sans manifester de réelles émotions, le timbre neutre évacue malgré tout l'effort physique précédemment effectué. L'épée reprend place dans le fourreau, conjointement aux propos. « Ennuyant. Leurs coups demeurent prévisibles. Même lorsque je n'arrive pas à lire leur technique au départ, une ou deux passes d'armes supplémentaires suffisent pour les assimiler. »

Fort heureusement, l'accès à des occupations plus guerrières, offre de nouvelles opportunités à la jeune femme. Déjà approchées sans réelle autorisation plus tôt, par le biais de son oncle, qui évoquait certaines de ses réunions à la demeure familiale. Jamais dans le détail, leur contenu devant rester confidentiel. En effet, membre des cinq Grands Vassaux, il ne pouvait se permettre toutes sortes de libertés à ce sujet. C'est pourquoi il faisait essentiellement part d'aspects épineux sortis de leur contexte. Souvent par le biais de métaphores.

Quel intérêt pour la famille? Aucun. Ces problèmes, ils les exposait à l'enfant d'une dizaine d'année. Qui, comme elle le faisait déjà avec ses jeux de bois, attelait son esprit à la résolution de l'énigme apportée. L'absence de contextualisation, si elle peut s'avérer lacunaire, permet aussi l'exploration d'autres possibles. Ce que la jeune fille s'est empressé de souligner lors de leur premier échange à ce sujet. De fait, ne pas connaître tous les détails laisse libre court à l'imagination de solutions, des pistes improbables envisagées, car non bridées... Et parfois utiles, alors que nul n'y aurait pensé.

Depuis qu'elle s'exerce pour prendre activement part à la guerre contre les sudistes, d'ici un an ou deux, lorsqu'elle aura atteint l'âge requis, il lui est possible de se mêler davantage aux décideurs. Officiers, ou parfois chefs de clan en visite, toute occasion est bonne pour partager ses capacités de réflexion et ses idées.

‡ La houle cogne doucement sur les récifs quelques lieux à bâbord. Et la coque de bois secouée gaiement au même titre, induit une lente berceuse aux passagers. Trois silhouettes observent l'étendue quelque peu agitée, depuis le gaillard d'avant. Le Brumeux fend les vagues sans aucune difficulté. Deux prunelles d'une gris-bleu se perdent dans les eaux glaciales. Le navire de guerre de Bragnar effectue sa route habituelle, assurant la surveillance des côtes depuis la Forêt du Nord jusqu'au Petit Bois.

Plus tôt dans la journée, leur patrouille fut bien plus tempétueuse. En effet, ils ont croisé la route d'une frégate aux armoiries du Prince. Difficile de savoir si l'ennemi avait outrepassé la frontière volontairement, ou s'était égaré suite à un mauvais grain. Le combat avait été engagé sans préambule cependant. Le navire en face, plus petit et moins bien équipé, avait subit de lourdes pertes. Avant d'être abandonné aux eaux sudistes après avoir capitulé. Une bataille intéressante, la première que la jeune femme connu sur la mer. Et dont elle écopa sa seule et unique cicatrice. Aucune gloire ne résidait dans la fine ligne de trois ou quatre centimètres qui barrait l'arrière gauche de son crâne. Le roulis causé par un divin adverse l'avait fait perdre son équilibre, et une cadène réceptionna son fief douloureusement, qui ripa contre ce dernier.

Mephélys, la liée du général et capitaine, permettait souvent au Brumeux de prendre l'avantage. Cette fois encore n'avait pas dérogé. Les sillons légers qui traînaient derrière sa nageoire caudale accaparaient les iris de la jeune femme. Parmi les quelques enfants divins du clan, ou de passage, elle était la première qu'Eira avait rencontré. Enfant, âgée de six ans tout au plus. La créature et elle s'étaient liées à leur façon. Par le langage mais aussi la compréhension silencieuse et mutuelle. Un esprit d'un autre âge, venant caresser les rives de celui déjà étrangement bien formé de la petite fille.

‡ La masure est accueillante. Un feu crépite avec chaleur dans la pièce principale. Rien de trop fastueux, malgré les moyens dont Eira dispose. En effet, les Livius constituent une lignée toute aussi respectée que privilégiée du clan des Hommes Libres. Ancienne famille noble, ralliée très vite au Keiser, dont la grand mère de la jeune femme était assez proche. Et qui n'a jamais cessé de soutenir ce dernier, tant par la valeur de leurs hommes au combat, que les apports ingénieux ou pécuniers apporté à l'amélioration des conditions de vie du clan et des stratégies militaires. Domaine dans lequel son oncle s'illustrait à merveille, et qui lui a valut d'être nommé grand vassal à l'aube de ses trente ans. Mais les Hommes Libres ne bénéficieront plus du génie de cet homme, emporté quelques jours plus tôt par la maladie.

Des coups sonores mais brefs résonnent contre le panneau de bois. Celui-ci grince doucement lorsqu'il s'ouvre sur la silhouette paternelle. La mine un peu tirée, l'homme entre et pose ses prunelles sur sa fille. Une femme bien faite à présent, de corps comme d'esprit. Celle-ci siège dans un fauteuil sobre au coin de l'âtre, jambes croisées, le regard perdu dans les flammes, les traits impassibles. Chaque bras en bois de chêne accueille, pour l'un, l'avant-bras d'Eira, posé à plat, pour l'autre, son coude. Le poing fermé sous son menton quelques crans plus haut, elle ne prête pas de réelle attention au visiteur.

« Tu es partie rapidement avant-hier... C'était une belle cérémonie. Mais je comprends. » Vorald Livius se déleste de son épaisse cape, ôte la neige de ses chausses et s'avance de plusieurs pas au centre de la pièce. « La décision a déjà été rendue. »

La jeune femme n'accorde pas plus de considération visuelle à son père, mais son écoute demeure présente. Le timbre neutre s'élève, avec le sérieux caractéristique qui l'habille en toutes circonstances. « Le clan de Sigwald ne s'est pas manifesté dans la nuit. J'en déduis qu'ils lui ont favorisé Alésine. C'est judicieux, mais dommage. Sigwald n'est certes pas un combattant émérite et ne possède pas l'esprit le plus fin, cependant... Il détient des aptitudes intuitives particulièrement intéressantes. Une bonne balance au vu des quatre autres membres restants. »

Un faible grognement retenti dans son dos. Les bruits feutrés de paperasse manipulée lui arrivent distraitement aux oreilles. Un voile de mélancolie traverse furtivement le regard clair où dansent les flammes avec ardeur. C'en est fini des réelles énigmes à portée de sa psyché... Mais est-ce vraiment cela qui la préoccupe?

« Bragnar avait rédigé une lettre à l'attention du conseil. Te recommandant spécifiquement. Tiens, tu es mandatée, tu dois te présenter cette après-midi auprès des Grands Vassaux et de notre roi. »

Un simple froncement de sourcils accueille ces propos discordants. Eira écarte sa main refermée pour la poser sur le bras du siège. Puis fini par tourner son faciès en direction de son père, sans poser le regard sur le parchemin tendu devant lui. Avec un calme réaliste elle annonce simplement.

« Ce serait irresponsable. J'approche à peine la vingtaine. Je ne porte en moi ou sur moi nulle cicatrice de guerre, héroïque ou honorable. Je n'ai pas encore fait mes preuves. Par ailleurs, cette recomm... » Un ton sec, de prime abord, la coupe. Avant de se radoucir progressivement.

« La parole de mon frère possède une valeur intrinsèque à son parcours. Tous l'ont connu ici. Tous savent qu'il n'a guère hésiter à sanctionner et bannir un membre de sa propre famille pour ses manquements auprès du Keiser et de la Confédération. Cette lettre n'est pas un passe droit. Tu le sais. Chacun le sait, chacun sait que l'homme a l'esprit acéré et meilleur stratège du clan ne privilégierait jamais le droit du sang sur le droit du mérite...

...Tu te dois d'accepter, ma fille. Tu le dois pour honorer la mémoire d'un tel homme, ainsi que son choix. Tu le dois pour honorer ta dévotion à la Confédération et au Keiser. Et tu le dois... à toi-même. »

Le bleu-gris fixe le bleu pâle, sans faire montre d'une quelconque émotion. Le ton résonne dans la masure, objectif, mesuré, constant. Comme toujours.

« Soit. Tu as raison. »

‡ Sa nomination au poste de Grande Vassale remonte à un peu plus d'un an maintenant. Et déjà, la réputation de la jeune Livius va grandissante. Son manque d'expérience "physique" disparaît nettement au profit de ses capacités intellectuelles et son esprit stratégique.

Elle a repris la place de son oncle à bord du Brumeux, bien qu'en tant que seconde et non capitaine. Un poste qu'elle a souhaité léguer à l'un de ses hommes et compagnons d'armes, Esthias Olriksën. Préférant allouer davantage de son temps aux patrouilles terrestres pour le moment. Même si elle monte encore souvent à bord du navire selon les différentes périodes de l'année.

ꖘ Autres

● Métiers : Grande Vassale / Guerrière / Seconde du navire de guerre Le Brumeux
● Signes particuliers : Esprit tactique et faculté d'anticipation extrêmement développés.
● Rêve, ambition : Relever de nouveaux défis intellectuels, être capable d'appréhender davantage le fonctionnement de la vie comme du monde sous toutes ses formes & protéger son peuple

● Pack de départ : Nordien
Eira Livius 549z

Objets de soin
- Pansement coagulant x 1 - 30pts
- Gélule anez x 1 - 20 points
- Anti-gel x1 - 50 points
Objets divers
- Cristaux de Glace x 1 - 150 points
- Sceptre foudre x 1 - 150 points
- Graine maléfique x 1 - 100 points
Arme
Epée à 1 main
> Tranchant ●●○○○
> Résistance ●●●○○
> Maniabilité ●●●●○

ꖘ Hors Jeu

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KoalaVolant

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11/05/2017

Et me voici par ici !

Bon... Comme d'habitude, nous sommes en présence d'une très bonne fiche ! Fluide, avec une construction agréable, le tempérament d'Eira transparait bien !

Eeeeeet, j'ai beau chercher, je ne vois pas de point qui freinerait ta validation. Mais peut-être qu'on me fera mentir à la deuxième validation Surprised

Il y a juste, en effet, quelques tournures de phrases ou erreur à modifier. J'en ai repéré deux essentiellement, que je te mets là :

- "d'ici un an ou deux, lorsqu'elle aura atteint l'âge requis, il lui est possible de se mêler davantage aux décideurs."
- "l'arrière gauche de crâne"

Pour moi ça n'entrave pas la validation, alors voilà !

Félicitations ! Je t'offre ma première validation !
Un.e admin/modo viendra bientôt te corriger si besoin et te valider définitivement par la suite !

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27/01/2018

Très belle histoire que j'ai pris grand plaisir à lire Smile

Rien à redire de ta fiche, elle remplit tous les critères de validation, bravo !

Félicitations !

Félicitations ! Tu as ma validation et peux même prétendre au succès "Coup de maître" !
Tu peux poster tes résumés ici et faire une demande de jeu là.
Nous t'avons créé une carte de lien, à utiliser dans tes résumés RP, sans obligation bien sûr. Tu retrouveras les autres cartes dans l'atelier de craftage.

Bon jeu !

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Eira

Est-ce le mal, qui est au cœur de l'amour?Ou l'amour, qui est au cœur du mal?

Est-ce le mal, qui est au cœur de l'amour?
Ou l'amour, qui est au cœur du mal?