Identité
Nom : Belfort
Prénom : Syrus
Sexe : Masculin
Age : 21
Caractère
A première vue, on pourrait croire que Syrus n'est qu'un faible personnage, ne connaissant que la noblesse et que sa vie est parfaite, et je vous répondrais que vous n'avez pas totalement tort. Pour l'intéresser, vous devez avoir une chose qui vous différencie des autres, un caractère spécial, un talent original, ou bien une bonne entente avec Syrus. Il est assez insouciant du monde qu'il l'entoure, pour lui tout est beau, tout est innocent dans le meilleur des mondes possibles. Depuis tout âge, il reste très timide envers les femmes de son âge, surtout celles qui lui plaisent, mais il le fait savoir en écrivant et envoyant un poème à la demoiselle qui l'intéresse, le tout signé par un surnom qu'il s'attribue à lui même : le poète en herbe.
Généreux dans l'âme, il n'hésitera pas à donner un peu d'argent aux plus démunis, sans pour autant lui donner toute sa fortune, juste de quoi l'aider pendant quelques jours. Obtenez son intérêt et vous aurez une personne possessive et gentille, un peu trop des fois, mais cela part toujours d'un bon sentiment. En revanche, si jamais vous êtes mauvais envers lui, il ne vous fera rien sur le moment mais soyez sur d'une chose : il se vengera.
Syrus a beau être de la haute noblesse, c'est à dire bénéficier de la satisfaction des biens matériels, il rêve toujours de son avenir, avec une chère et tendre, qu'il voudrait appeler sa femme. Cependant ce rêve était tout le temps interrompu par les réflexions de son père. Il voulait que Syrus devienne comme lui, un duelliste à l'épée hors pair. A part cela, il n'a pas de grands rêves à part celui de réussir sa vie. C'est justement sa plus grande peur. Ce qui l'effraye le plus, c'est de mourir seul et ignoré de tous, il ne veut pas quitter ce monde sans être regretté. C'est très égocentrique, mais disons que s'il ne parle à personne, il ne se sent pas vivant.
Notre poète n'a pas vraiment de goûts particuliers, il aime cependant parler en vers, il trouve cela agréable et ça lui permet de rechercher ses mots plus intelligemment. Il aime la littérature et le goût de l'aventure lui vint au fur et à mesure qu'il rêvait des heures durant. Il gardait néanmoins ses goûts bourgeois, à savoir le luxe et les bonnes manières, parfois même capricieux à propos de cela. Certains vous dirons que ce n'est que du snobisme de sa part, mais il pense surtout que c'est un besoin vital et qu'il ne pourrait vivre sans.
En ce qui concerne la religion, il reste assez indifférent. En effet, bien qu'il croise fréquemment des invocations et que l'existence des Dieux a été prouvé, il n'éprouvait aucune peur à leurs égards. Les dieux et la religion ne lui avait jamais rien donné, tout ce qu'il voulait de matériel était fourni par la famille Belfort, il n'avait donc aucune raison de se tourner vers des quelconques divinités. Il avait cependant retenu le nom des quatre Dieux : Aqua,Terra, Aer et Ignis.
Physique
La forme du visage de Syrus n'est ni trop ovale, ni trop rectangulaire, c'est un parfait contraste entre les deux, une forme plutôt harmonieuse en soi, qui va parfaitement avec le charme qu'il dégage, abordant en plus une légère barbe de trois jours. Etant donné que le bronzage n'est pas très courant chez les nobles, Syrus a une peau plutôt blanche, mais pas trop pâle non plus. Ses lèvres ne sont pas très fines, mais pas pulpeuses pour autant, trouvant ainsi un juste milieu concernant la largeur de sa bouche. En ce qui concerne les yeux, ils sont plutôt enfoncés et d'un brun très clair, dégageant ainsi un certain charme avec ce regard qui peut apaiser l'âme de quiconque le croisant. Ses cheveux sont plutôt courts, mais bien coiffés, s'associant parfaitement avec la pilosité faciale de notre poète. Il arrive néanmoins qu'une mèche se démarque de la chevelure, mais ne change en aucun cas le charisme de Syrus.
Pour un poids de soixante quinze kilos et une taille de un mètre quatre vingt dix, la silhouette de Syrus est plutôt harmonieuse, avec des muscles légèrement dessinés suite aux nombreux entraînements à l'escrime de la maison Belfort. En ce qui concerne le style vestimentaire de Syrus, il sort souvent avec une fine veste en peau d'animal avec des lanières de cuir. Il lui arrive aussi de porter des gants en cuir noir lors des grands froids ou quand il souhaite prendre soin de ses mains. Il porte un pantalon soit bleu foncé, soit noir, tout dépend des jours, ainsi que des bottes noires. Syrus n'est pas très attiré par les couleurs claires, il ne cherche pas à attirer les regards de part sa richesse. C'est pourquoi, les premières fois ou il sortait pour se promener dans la capitale, il y allait avec un pantalon noir et une chemise blanc cassée, afin de passer pour un individu banal.
Vie
Famille :
Père : Raphael Belfort âgé de 45 ans, Enseignant supérieur de la maison d'escrime Belfort
Mère : Charlotte Belfort (née Charlotte Aimée d'Abancourt), âgée de 40 ans. Actuellement la femme de Raphael et ne possède qu'un enfant : Syrus. Elle s'occupe de la gestion des finances de la maison Belfort.
Le serviteur : Sebastien, âgé de 30 ans, il s'occupe de servir les Belfort depuis ses 12 ans, il s'est souvent occupé de Syrus et sait parfaitement gérer les tâches ménagères et cuisinières. Meilleur ami de Syrus, on pourrait croire qu'il est amoureux, tellement il est proche de lui.
Histoire :
L'histoire de Syrus est celle d'un enfant de noble ordinaire, vivant au sein de la maison Belfort, hautement réputée pour les cours d'escrimes destinés à la haute noblesse et à la famille Belfort. L'enfant de Raphael Belfort était prédestiné à devenir le futur enseignant de sa maison, mais il en fut autrement.
Syrus, commença ses cours d'escrimes vers huit ans, âge dont le père a été entraîné par son père et ce, depuis la création de la maison Belfort. Ses cours étaient souvent donnés le soir, après qu'il revienne de ses enseignements scolaires au sein du domicile. Il arrivait néanmoins, surtout le samedi et le dimanche, que son paternel le forçait à s'exercer davantage à l'escrime, à l'instar du petit enfant qui ne voulait que jouer à l'extérieur. C'est ainsi que la plupart de l'enfance de Syrus se déroula, sans amis et quasiment aucun contact extérieur. Le seul ami auquel il pouvait parler tranquillement est Sébastien, avec qui il pouvait tout lui dire, ce qu'il ressentait et voulait. Cependant, les deux garçons ne pouvaient se parler longtemps avant que la mère n'intervenait pour les séparer, ordonnant au serviteur une quelconque bricole à faire. A l'époque, la coupe de cheveux de Syrus n'était qu'une coupe obole brune, mais écourtée au niveau du front, évitant ainsi que ses cheveux le gênent durant ses entraînements forcés.
Lors de sa majorité, Syrus se fit offrir une lame d'une valeur inestimable de la part de son père et de sa mère. Seulement, son père avait un but bien précis lors de leur cadeau. En effet, le tournoi des maisons devait bientôt avoir lieu, et il s'est dit que son fils pourrait représenter la maison Belfort lors du tournoi. La maison de l'escrimeur Raphael Belfort avait gagné ce tournoi quinze fois de suite, mais bien qu'il remportait à chaque fois ce tournoi sans aucune difficulté, il se sentait fatigué d'y participer, et selon lui, il était grand temps que Syrus prenne le relais. Le tournoi se déroulerait dans trois ans, durant ce temps, Syrus avait enfin le droit de contempler le monde extérieur, sortir du manoir. C'est ce qu'il fit dès le lendemain de ses dix huit ans après l'entraînement, il découvrit les différents quartiers de la capitale, mais sous des vêtements plus classique, à savoir un pantalon noir et une chemise blanc cassée, qui allait parfaitement bien avec sa récente coupe de cheveux, à savoir des cheveux assez courts bien qu'une petite mèche restait sur son front. Il appris un peu à jouer du violon grâce aux différents artistes de rues qu'il croisait sur sa route, mais il trouva sa réelle vocation quand il entendit les poètes s'exprimer devant des dames qui buvaient chacune de leur paroles. Le noble leur demanda gentiment quels étaient leurs secrets pour sortir des paroles aussi belles. Tous répondirent par la même phrase : "La poésie est le chant intérieur". Autrement dit, si tu veux que tes paroles soient belles, écoute ton cœur et transmet ses paroles. A partir de ce jour, il commença à écrire à ses heures perdues, les mots qui venaient de son cœur, mais cela sonnait rarement bon, cela ne rimait pas et ses vers étaient souvent mal dit.
A ses vingts ans, alors qu'il marchait dans la capitale, il fit la connaissance de Tatiana Alidosi, fille d'une maison concurrente, la maison Alidosi. Au début, ce n'était que quelques paroles, tout ce qu'il y avait de plus banal, mais au fur et à mesure des mois, la demoiselle se rapprochait d'elle, Syrus ne trouvait aucun inconvénient à son rapprochement. De plus, ses poèmes devenaient de plus en plus harmonieux, au fur et à mesure qu'il passait du temps avec la noble femme. Jusqu'au moment où il voulut déclarer sa flamme, peu après ses vingt et un an. Il lui apporta sur un papier, ce qui était selon Syrus, le meilleur écrit de sa vie.
Voilà un an que nous nous parlons
Et déjà de mon cœur, tu en es la reine
Je pense à nous quand je regarde l'horizon
Et de vos qualités que l'on compte par centaines
Votre regard seul peut me faire croire aux Dieux
Car lorsque je vous regarde, je suis au paradis
Je peux observer toutes les étoiles dans vos yeux
Tant votre beauté me semble infinie
Aucun homme même le plus malintentionné
Ne peut résister à votre sourire si radieux
Pouvant guérir jusqu'à la cécité
A partir de ce jour, seul mon cœur pensera
Car avec vous, je ne peux qu'être heureux
Quand le monde murmure le nom de Tatiana.
Suite à ce poème, la jeune femme, émue, embrassa le noble Syrus qui connu son premier baiser. Il ne restait qu'une semaine avant le tournoi, mais le jeune homme n'en avait qu'à faire, il était heureux avec Tatiana. Le tournoi commença la semaine suivante, et les maisons s'affrontèrent. Au bout de quelques heures, la prestigieuse finale de ce tournoi allait commencer. Il ne restait que deux concurrents, Alessandro Alidosi et Syrus Belfort. Son père ne levait pas un sourcil concernant la qualification de son fils et pour cause, il trouvait ses adversaires mauvais et que son fils remporterait facilement la victoire. Le combat commença et rapidement, ce fut le fils Belfort qui menait l'avantage. Le combat était indubitablement en l'avantage de Syrus, et quand celui-ci s'apprêta à désarmer son adversaire, Tatiana apparu près de lui, à la limite de l'arène, le destabilisant. C'est alors que son père profita pour attaquer et réussit à désarmer Syrus. Il était dégoûté, et énervé contre lui même, culpabilisant d'être tombé dans un piège aussi futile. Ce ne fut rien comparé à la colère de son père qui, une fois les retrouvailles faites, mit une gifle à son fils, le battant avec des coups tant sa frustration était grande. Il réussi toute fois à se sauver et à se rendre chez sa bien aimée. Elle fêtait la victoire avec son père, et quand elle vit Syrus, elle se moqua de lui, lui avouant le pot au rose. Tout était prévu dans cette famille, tout n'étais que tromperie. Pour preuve, elle prit le poème de Syrus, et rigola avant de le déchirer sous ses yeux, lui qui avait passé des heures à le faire. Ce n'était pas son poème qu'elle avait déchiré, mais son amour, sa joie de vivre, son avenir. Fou de rage, il revint vers son père, s'excusant de son comportement irrationnel. Le seul moyen de laver l'honneur qu'il avait envers son père était de l'affronter dans un duel dans les règles de l'art. Il accepta. Si jamais Syrus le battait, son père oubliera cette affaire et il sera libre de faire ce qu'il veut, en revanche, s'il perd, il restera au sein de la maison Belfort, et continuera à recevoir les enseignements de son père, jusqu'au prochain tournoi. Le combat fut serré, mais au bout de dix minutes, sous la rage des événements précédents, c'est Syrus qui remporta le combat, gagnant ainsi le respect de son père au sol et désarmé. Le jour suivant, il prépara ses affaires, prenant de l'argent sur lui, ses tenues, son arme, ainsi que papier et ancre, et quitta le manoir, avec des au revoir chaleureux de sa famille et de Sébastien. Une nouvelle vie débuta alors pour le jeune noble, une vie de poète en herbe, à la découverte du monde et de la recherche de ce qu'il lui manque dans sa vie : la source de ses poèmes, c'est-à-dire l'amour.
Autres
Métier: Noble
Signes particuliers: Parle en vers
Rêve, ambition: Découvrir le monde et trouver l'amour
Hors Jeu
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