I) Identité
Prénom :
DiyaSexe :
FémininÉlément associé :
TerreII) CaractèreTu es ce rayon de lumière qui joues entre les feuilles, donne à la végétation cet aspect scintillant et chatoyant, cette joie de vivre. Tu es simple et sais te satisfaire de peu. Même si tu es exigeante envers toi même tu n'es pas pour autant des plus sérieuse. Te perdre dans les romans et raconter des histoires aux enfants, voilà ce qui te rends heureuse. Petite tête en l'air un tant soit peu naïve et joueuse, tu ne te départis jamais de ton sourire. Quand tu veux quelque chose ton coté têtue te pousses souvent a la ruse.
Tu as toujours reçu tes frères et sœurs comme des invités de marque, sans jamais leur reprocher leurs choix. Fière d’accueillir tes semblables dans ton paradis. Tu aimes les humains mais tu les crains presque autant. Tu as toujours senti chez eux cette tendance à la destruction. Tu les regardais piétiner tes merveilleuses créations sans même y prêter attention. Et pourtant certains croyaient en toi, ils disaient que tu étais un drôle de don du ciel et que c’était ton sourire qui rendait la terre si fertile au village. Tu as vécu avec eux si longtemps et les voir changer t'as fais tant de mal.
Tu as mal vécue cette punition. Terra était si furieuse en voyant la montagne et ses alentours mis a nue, mais tu avais échoué a convaincre les humains. Impuissante face à leurs envies de détruire et de remplacer la végétation par du métal. Tu les as regardé en pleurant, mais même tes larmes n'ont pas réussi a les sauver. La terre avait déjà perdue l'envie de renaître, étouffée par le goudron.
Tu t'es retrouvé dans cette pièce, ou même après avoir perdu le compte du temps et des larmes versées pour ton village, la terre a refusé de t'accorder la moindre fleur. Incapable de vivre ainsi, sans ta précieuse vegetation, tu t'es laissée dépérir, attendant en vain quelqu'un qui fera refleurir l'espoir d'un monde meilleur en toi.
III) PhysiquePetite et agile, ton corps à l'apparence féline et couvert d'une douce fourrure blanche ici et là parsemée de taches tendant vers le noir. Tes oreilles sont de cette couleur sombre, grandes et à l’ouïe aiguisée. Elles semblent toujours en mouvement, à l'affût du moindre bruit. Au milieu de ces dernières viennent se dresser deux antennes d'un vert aussi tendre que les premières feuilles du printemps. Ta queue et ton torse sont eux aussi un drôle de mélange de végétation et de poils. Comme si, à force de jouer dans la foret une part d'elle avait voulu rester avec toi.
Tes grand yeux curieux pétillent d'intelligence et les émeraudes qui s'y reflètent ne se départissent jamais de cet éclat de bonheur qui te caractérise si bien. Une pierre a la rondeur parfaite répands milles nuances forestières sur ton front. Tes frères et sœurs se moquaient souvent de ta petite taille, à peine plus grandes que ces chats domestiques dont raffolent les humains , quand certains d'entre eux, tel que les dragons et bon nombre de leur compagnons semblaient équivalent à tes arbres les plus imposants. Mais tes sœurs t’enviaient cette bouille enfantine lorsque tu prenais forme humaine.
Ton apparence d'adolescente énergique qui ne tenait pas en place plaisait également aux humains. Ils te comparaient à une poupée de porcelaine dont la peau, taillée dans l'ivoire le plus pur, semblait aussi douce que du satin. Tes cheveux d'ébène que tu portais mi-long te donnais l'allure d'un lutin. Tu t'habillais toujours simplement, des robes unies, des kimonos somptueux plus traditionnels lorsque les occasions le réclamaient. Tout t’embellissait avec ta taille de guêpe qui pourtant cachait un appétit redoutable.
IV) Vie
Histoire :Terra décida de te créer pour veiller sur une montagne, colosse entourée d'une immense foret de conifères. Tu y créa un paradis de verdure où des milliers d’espèces végétales vivaient dans la plus grande harmonie. Tu étais heureuse, tu passais tes journées à gambader, parcourant ton territoire de long en large afin de tout surveiller. Tu décida de te créer un petit temple au milieu de la végétation luxuriante, un lieu où tu entreposerais ta sagesse et tes plus belles créations. Les salles se remplirent rapidement de fleurs exotiques toutes plus colorées et délicates les unes que les autres. Tu aurais pu vivre ainsi éternellement, veillant sur ton paradis. Puis les Humains arrivèrent.
Une famille pénétra ton territoire, elle demanda l'asile à la demi-déesse, promettant de ne pas détruire le merveilleux environnement que tu avais créé. Tu fus réticente mais tu fini par accepter. Tu avais refusé de participer a la création de ces être, préférant ignorer tout ce qui ne concernait pas ta montagne. La famille s'installa et construisit une maison en bois. Trois mois passèrent. D'autres humains avaient rejoint les premiers sur ton accord. Ils attiraient ta curiosité. Tu jouais avec leurs enfants et apprenais aux plus vieux comment cultiver des champs dans la foret en contre bas tout en préservant la nature. Un village de plusieurs centaines d'habitants se forma, vivant en harmonie avec les dons de Terra au milieu de l’environnement fertile que tu leur offrais. Ils suivaient tes enseignements sans jamais chercher a te désobéir, toi, la divinité du lieu.
La Déesse Souriante, c'est ainsi qu'ils te nommaient, malgré que tu leur ai répété en vain que c'est le don de Terra qui agissait là. Tu devais de temps à autres les disputer, lorsqu'ils massacraient tes magnifiques végétaux pour s'amuser. Tu leur disais que Terra serait en colère et les chasserait de leur village, mais cela ne faisais que faire rire les enfants. Alors tu soupirais et jouais à les pourchasser, tu leur montrais comment faire pousser de magnifiques fleurs. Les humains ne te connaissais que sous ta forme humaine. Tu refusais qu'ils te voient sous ta véritable apparence, de peur qu'ile ne te fuient ou qu'il tente de faire de toi une bête de foire; une curiosité locale. Tu réservais le corps que t'avais donné Terra à tes instants de prières, ne voulant pas souiller l'enveloppe charnelle que ta mère t'avait offerte. Puis les choses se mirent a changer.
Les Hommes ne se satisfaisaient plus de ce que tu leur offrais, ils préféraient inventer des machines qui broyaient les arbres pour faire des maisons plus rapidement. Il détruisirent tes jardins pour fabriquer plus de champs qu'ils surexploitaient à longueur d'année. Ils appauvrirent tant la terre que les plantes autour du village se firent rares en dehors des cultures. A chacune de leur nouvelles inventions tu sentais ta magie diminuer. Tu tentais de les résonner tous les jours mais ils ne t’écoutaient plus. Tu faisais désormais partie du passé, alors qu'eux avançaient a grands pas vers un avenir à leur image, loin de tout respect envers la nature. Tu ne les intéressais pas plus qu'un vieux jouet, bien vite remplacé par la nouveauté. Les humains ne croyaient plus en toi, même les enfants sous les ordres de leurs parents ne venaient plus jouer avec toi. Le désespoir t’envahis. La colère céda la place à une haine sourde qui se mua doucement en un orage d'une violence inégalée. Tu fis pousser tout autour de leur village d'immenses murs de ronces et de végétation, les empêchant d'étendre leur massacre.
Tu croyais avoir résolu le problème mais ils fabriquèrent d'immenses machines crachant le feu sacré d'Ignis. Ils brulèrent la foret, les lamentations de la natures vrillaient tes oreilles, alors que tu tentais un ultime assaut, puisant dans le peu de mana qu'il te restais après avoir tenté de sauver la foret tu créas un immense golem qui alla détruire le village. Mais les humains étaient trop nombreux, ils avaient détournés la puissance de la nature et tes enseignements afin de soulager leur soif de pouvoir et d'extension. Invoquer le serviteur t'avais coûté toutes ton énergie et maintenir ta forme humaine était trop épuisant. Tu te retrouva donc sous cette apparence animale que tu n'avais plus incarnée depuis tant d'années. Les humains te capturèrent, ils t'enfermèrent dans une des salles de ton propre temple, loin de la terre mère qui aurais permit la régénération de ton mana. Tu perdis espoir. De la fenêtre de la pièce tu voyais chaque jour la foret disparaître un peu plus, remplacée par des bâtiments de verre et d'acier, ces nouvelles matières créées par l'homme. Un sage venait chaque jour te raconter la progression du village, même s'il ne te prêtais plus aucune attention c’était devenu un rituel quotidien qui te rappelais que tu avais échoué.
Puis Terra revint et abattit sa colère sur ses enfants qui n'avaient pas su maîtriser leur création. Tu pleura longuement mais tu accepta la punition car tu avais tiré leçon de ton échec. Ainsi le monde fut remanié, tu en eus un bref aperçu au travers des panneaux de verres qui ornaient les murs de ta prison. Les vastes étendues de terres furent divisées et tu te retrouvas sur une île. Tu eus vent que les Humains avaient étaient recréés, mais que cette fois, leur accès à la technologies était restreint. Tu ne savais quoi penser, et lorsqu'on t'annonças qu'ils seraient les seuls à pouvoir te sortir de cette cage la rage t'enserra la gorge. Tu vis rouge, ne comprenant à quoi jouaient les quatre créateurs. La salle où l'on t'avais enfermé contenait la terre incultivable de la montagne que tu n'avais pas su défendre. Te condamnant à attendre la venue d'un humain dont le cœur serais suffisamment pur pour faire pousser une graine de fleur de lune.
V) Hors Jeu
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